Thomas DeLauer : “une méthode de jeûne 33 % plus efficace contre graisse viscérale que n’importe quel autre régime alimentaire.”
Le jeûne intermittent, mythe et serpent de mer, porté aux nues puis pilonné et qui, tous les six mois, revient sur le devant de la scène, paré de nouvelles vertus ou accablé de nouveaux maux. Célébré pour son aptitude à déclencher l’autophagie, puissant marqueur d’un nettoyage cellulaire. On l’a accusé, parfois à raison, de faire chuter le métabolisme et de grignoter la masse musculaire des sportifs qui le pratiquaient avec un zèle un peu trop monacal. Le résultat ? Un flou artistique savamment entretenu, où tout et son contraire semblent coexister.
Thomas DeLauer, ce YouTubeur américain à la curiosité insatiable, que l’on aime bien chez « the main » pour sa capacité à vulgariser des sujets ardus, remet une pièce dans la machine. Il nous présente une étude qui, pour une fois, ne se contente pas de recycler les vieux poncifs. Une étude qui compare la bonne vieille restriction calorique (CR) à un protocole hybride, subtil et franchement intrigant : le « Intermittent Fasting + Protein Pacing », ou IF-P.
Les résultats sont, pour le dire poliment, assez phénoménaux. Mais comme toujours, derrière les chiffres qui claquent, se cache une mécanique qu’il faut démonter. Et c’est précisément ce que nous allons faire.
Le “régime” et la Restriction calorique : Brève histoire d’un échec annoncé
L’injonction « manger moins, bouger plus » est si ancrée dans l’inconscient collectif qu’elle semble relever de l’évidence. Pourtant, comme le résume crûment le Dr Jason Fung, cette approche affiche un taux d’échec de 99,5%. Ce chiffre, tiré d’une vaste étude britannique de 2015, ne fait que quantifier un constat amer : en pratique, la restriction calorique simple est une stratégie de siège que le corps finit presque toujours par déjouer. Pour comprendre comment nous en sommes arrivés à ce dogme tenace, un bref retour en arrière s’impose.
Les fondations furent posées à la fin du XVIIIe siècle, lorsque Lavoisier et Laplace assimilèrent le métabolisme à une forme de combustion, ouvrant la voie à la calorimétrie. Un siècle plus tard, Atwater standardisait le comptage avec ses fameux facteurs 4-4-9 (calories par gramme de glucides, protéines, lipides), transformant la nutrition en une affaire de comptabilité. Mais dès 1863, une voix dissidente, celle de William Banting, proposait une « Letter on Corpulence » prônant une diète pauvre en sucres, ancêtre direct de l’approche « low-carb ».
La fissure dans le modèle purement calorique s’est élargie en 1945 avec la célèbre « Minnesota Starvation Experiment ». L’étude a démontré de manière implacable la réponse du corps à une privation sévère : chute drastique du métabolisme de base, fatigue, obsession pour la nourriture. Le corps ne se laisse pas affamer passivement ; il s’adapte, il résiste. Malgré cela, les décennies suivantes virent le triomphe du paradigme « low-fat », qui focalisait l’attention sur les lipides et occultait la complexité du métabolisme.
Le véritable tournant eut lieu dans les années 90, avec la découverte de la leptine puis de la ghréline. On comprenait enfin que le tissu adipeux n’était pas un simple stock de calories, mais un organe endocrinien actif, et que la faim et la satiété étaient régulées par un ballet d’équilibre hormonal complexe. Le corps n’est pas une calculatrice, c’est un système de régulation. Des études plus récentes, notamment le suivi des candidats de « The Biggest Loser », ont confirmé que cette adaptation métabolique (« adaptive thermogenesis ») est durable : même des années après une perte de poids massive, le métabolisme reste freiné, favorisant la reprise. C’est cet échec de l’approche frontale qui a ouvert la voie à des stratégies plus fines, comme le jeûne intermittent et la chrono-nutrition, qui cherchent moins à forcer l’organisme qu’à dialoguer avec sa biologie.
Le Ring de la Diète – Régime à l’ancienne contre stratégie métabolique + jeûne intermittent
Pour comprendre l’enjeu, il faut présenter les combattants.
D’un côté, nous avons le tenant du titre, la Restriction Calorique (CR). C’est la méthode de l’expert-comptable appliquée à la nutrition : on dépense plus de calories qu’on n’en consomme. C’est simple, c’est logique, et ça fonctionne… jusqu’à un certain point. On connaît ses limites : la faim lancinante, la fatigue, la baisse du métabolisme basal, et cette désagréable impression de mener une vie en nuances de gris. C’est une stratégie de siège, lente et éprouvante.
De l’autre côté, le challenger, le IF-P : une stratégie en deux temps, qui combine le choc et la reconstruction.
Temps 1 : Le Jeûne Long… mais pas tout à fait.
Le protocole IF-P impose un jeûne long d’une à deux fois par semaine, de 36 ou 60 heures. Jusqu’ici, rien de révolutionnaire. Mais là où les auteurs de l’étude font preuve de finesse, c’est qu’ils brisent la règle d’or du jeûne pur et dur. Au cours de cette longue période, les participants avaient le droit à une petite « réincorporation calorique » de 20 à 25 % de leurs besoins quotidiens, souvent le soir. Un petit repas, comme une trêve au milieu de la bataille. L’idée est brillante : rendre le jeûne psychologiquement plus tenable et, potentiellement, envoyer un signal au corps pour qu’il ne panique pas complètement et n’active pas tous les mécanismes de survie qui sabotent la perte de graisse.
Temps 2 : La Reconstruction Intensive, ou le « Protein Pacing ».
Les cinq ou six autres jours de la semaine, le protocole change radicalement. Fini le jeûne, place à la reconstruction. Les participants suivaient un régime hyper-structuré, avec 4 à 5 repas par jour, chacun contenant 30 à 40 grammes de protéines. C’est ce qu’on appelle le « Protein Pacing » : un apport en protéines massif et rythmé tout au long de la journée. Le but est clair : maximiser la synthèse musculaire, contrôler la faim et fournir au corps tous les matériaux nécessaires pour se réparer et se renforcer.
En somme, on a d’un côté une guerre d’usure (la restriction calorique classique) et de l’autre, une opération chirurgicale : un choc métabolique contrôlé suivi d’une phase de soutien et de reconstruction intensive. Le tout, et c’est crucial, à apport calorique hebdomadaire équivalent.
Les Chiffres qui Mettent K.O. – Quand la Science Dépasse la Fiction
Si le protocole est élégant, les résultats, eux, sont brutaux. L’étude, menée sur 8 semaines, a montré des écarts qui laissent songeur :
La Graisse Viscérale : C’est le Graal. Cette graisse profonde, enroulée autour de nos organes, est la plus dangereuse pour la santé cardiovasculaire. Le groupe IF-P a obtenu une réduction de 33 % de sa graisse viscérale. Le groupe en restriction calorique ? Seulement 14 %. C’est plus du double.
La Graisse Abdominale Totale : Moins 23 % pour le groupe IF-P.
La Masse Maigre : C’est peut-être le résultat le plus spectaculaire. Le Saint-Graal de tout pèlerin de la recomposition corporelle est de perdre du gras en conservant, voire en gagnant, du muscle. Le groupe IF-P a vu sa proportion de masse maigre augmenter de près de 6 %, contre 3 % pour la restriction calorique.
La Faim : C’est le nerf de la guerre. Comment tenir sur la durée ? Le désir subjectif de manger a baissé de 17 % dans le groupe IF-P. En d’autres termes, non seulement ils perdaient plus de gras, mais ils avaient moins faim. Dans le groupe CR, la faim a légèrement augmenté.
C’est un grand chelem. Sur tous les tableaux, le protocole IF-P surclasse la restriction calorique classique. La question n’est plus « est-ce que ça marche ? », mais « pourquoi ça marche si bien ? ».
L’Avis du Professeur Debunk : « There is no free lunch ? »
« Bon. Les chiffres sont impressionnants, on ne va pas se mentir. Un protocole qui pulvérise la graisse viscérale tout en préservant la masse maigre et en réduisant la faim, sur le papier, c’est le scénario parfait. Mais avant de transformer nos cuisines en laboratoires de « protein pacing », quelques détails.
Premièrement, le sponsor. L’étude a été financée par Isagenix, une entreprise qui vend… des produits riches en protéines. Est-ce que ça invalide les résultats ? Non. Un résultat est un résultat. Mais ça exige ce qu’on appelle en science une réplication par des équipes indépendantes. Tant que ce n’est pas fait, on reste dans le domaine du « très prometteur », pas de la « vérité gravée dans le marbre ».
Justement, parlons du modèle économique du sponsor. Sans jeter le bébé avec l’eau du bain, et avec tout le respect pour ceux qui cherchent des solutions, nous avons une divergence philosophique avec le modèle de marketing de réseau (MLM) lorsqu’il glisse vers certaines pratiques. Le marketing de réseau, basé sur la recommandation humaine, peut être un outil de distribution intéressant. Mais quand le système rémunère davantage le recrutement de nouveaux vendeurs que la vente réelle de produits aux consommateurs finaux, la structure devient problématique et, historiquement, s’avère souvent être le précurseur de pyramides de Ponzi et de complications juridiques. Sans faire de procès d’intention à Isagenix, ce modèle n’est tout simplement pas le nôtre.
Enfin, la question des protéines non-équivalentes. Le groupe IF-P mangeait, par dessein, beaucoup plus de protéines que le groupe CR. Est-ce que les résultats spectaculaires viennent du jeûne, ou simplement du fait qu’un régime hyperprotéiné est plus efficace pour la satiété et la préservation musculaire ? Probablement un peu des deux. Isoler la contribution exacte de chaque variable est impossible ici. C’est une limite majeure.
Verdict du Professeur : Ce protocole IF-P est une pièce d’ingénierie nutritionnelle brillante et probablement très efficace. Mais ne jetez pas encore toutes vos anciennes habitudes par la fenêtre. C’est une piste de recherche exceptionnelle, pas un dogme. Prometteur, oui. Révolutionnaire ? Attendez la confirmation. »
La Passerelle Inattendue – Ce que le Cheval Nous Apprend sur le Jeûne Humain
Chez « the main », cette étude nous parle particulièrement. Pourquoi ? Parce qu’elle fait écho à un principe que nous défendons ardemment dans un autre domaine : la nutrition équine. Dans notre travail avec Catherine Vasseur, nous avons montré à quel point la restriction fourragère brutale chez un cheval en surpoids est une « ironie biologique ». En le privant de nourriture, on déclenche une « réponse de famine », une cascade de stress hormonal (cortisol) qui aggrave la résistance à l’insuline et favorise la perte de muscle.
Que fait l’étude sur l’IF-P ? Elle introduit une petite collation pendant le jeûne long. C’est un détail qui change tout. C’est une manière de dire au corps : « Ceci n’est pas une famine. C’est une pause contrôlée. Ne panique pas. » C’est une modulation intelligente, une façon de murmurer à l’oreille de notre biologie ancestrale pour qu’elle ne surréagisse pas.
La leçon est la même, du cheval à l’homme : ne jamais déclarer la guerre à sa propre physiologie. Un jeûne total et brutal peut être perçu comme une agression. Un jeûne modulé, accompagné d’un soutien nutritionnel intelligent, devient un outil. C’est toute la différence entre la force brute et la finesse.
Et « the main », Dans Tout Ça ? – Au-delà du Protocole
Cette étude ne fait que renforcer notre conviction la plus profonde. La santé et la performance ne sont pas le fruit d’une seule « astuce », que ce soit le jeûne, un super-aliment, ou une molécule miracle. C’est le résultat d’une approche intégrative.
Le protocole IF-P ne fonctionne pas uniquement parce qu’il y a du jeûne. Il fonctionne parce que le jeûne est intelligent, et parce que les jours de nutrition sont optimisés avec un apport massif et rythmé en protéines. C’est la synergie qui crée le résultat.
C’est exactement notre philosophie. Nous ne proposons pas des solutions qui se substituent à une hygiène de vie, mais des outils qui la complètent. Le « Protein Pacing » met en lumière l’importance capitale non seulement de la quantité de protéines, mais de leur qualité, de leur biodisponibilité et du moment de leur ingestion. C’est sur ces détails que nous travaillons.
Le Mot de la Fin
Alors, que retenir de tout ça ? Le jeûne intermittent n’est ni un dieu ni un diable. C’est un outil, dont l’efficacité dépend de la manière dont on le manie. Le protocole IF-P est fascinant parce qu’il le manie avec une finesse rare, en le combinant avec une stratégie de reconstruction musculaire et de contrôle de la satiété.
Il nous rappelle que le corps n’est pas une simple calculatrice de calories. C’est un système complexe de signaux, d’hormones et d’adaptations. Et la meilleure façon de le guider vers nos objectifs n’est pas de le brutaliser, mais de comprendre son langage.
La science est un dialogue permanent, pas un monologue. Et cette étude vient d’ouvrir une conversation absolument passionnante.
BONUS : Et si moi, j’ai envie d’essayer ? – Le Protocole en Pratique
Alors, pour vous qui vous dites, après avoir lu tout ça : « D’accord, c’est prometteur, mais concrètement, on fait comment ? ». La réponse n’est pas une recette miracle, mais un protocole à tester, pas une religion à adopter. L’idée est de mener une expérience personnelle sur 14 jours, avec rigueur et curiosité.
1. Le Grand Calme Hebdomadaire : Choisir son Jeûne Modulé
La première étape est de choisir votre rythme de « respiration métabolique ». L’étude propose deux options, à tester selon votre tolérance et votre mode de vie :
Le 36 heures : Vous jeûnez une journée complète. Le soir de ce jour de jeûne, vous prenez votre « repas tampon » d’environ 400-500 kcal. Le lendemain, vous reprenez une alimentation normale à partir du déjeuner. C’est l’option la plus accessible pour commencer.
Le 60 heures : Pour les plus aguerris. Vous jeûnez deux jours consécutifs, avec un « repas tampon » chaque soir. Vous reprenez une alimentation normale le matin du troisième jour.
Ce « repas tampon » est la clé. Ce n’est pas de la triche ; c’est un signal de paix envoyé à votre organisme pour limiter la réponse de stress, tout en maintenant les bénéfices du jeûne sur la semaine. Durant ces périodes, l’hydratation est non-négociable : eau, tisanes, café noir, et une pincée d’électrolytes pour éviter les maux de tête.
2. Les Jours de Reconstruction : La Discipline du « Protein Pacing »
Les 5 ou 6 autres jours de la semaine sont dédiés à la reconstruction. C’est là que la magie opère. La règle est simple :
Quatre « touches » protéiques par jour, espacées d’environ 4 heures.
Chaque repas ou collation doit contenir entre 25 et 40 grammes de protéines de haute qualité.
Le reste de l’assiette est composé de glucides à charge glycémique basse (légumes, légumineuses, tubercules) et de bons lipides (huile d’olive, avocat, oléagineux).
Ce n’est pas juste « manger plus de protéines ». C’est les répartir intelligemment pour maximiser la satiété et nourrir la masse musculaire en continu.
3. L’Écosystème du Succès : Les Habitudes qui Soutiennent le Protocole
Un protocole n’est rien sans son environnement. Pour mettre toutes les chances de votre côté, l’étude et le bon sens recommandent :
Une marche de 10 à 20 minutes après les repas des jours de nutrition.
Deux à trois séances de musculation par semaine pour envoyer un signal de construction à vos muscles.
Un sommeil de plus de 7 heures, qui est le véritable test de votre tolérance au jeûne long.
L’avis du Professeur Debunk : « Soyons clairs. Si vous finissez vos journées de nutrition en mode “pizza-bière-sorbet”, ce n’est pas de l’IF-P, c’est une restriction calorique déguisée en carnaval raté. La méthode est structurelle, pas décorative. Respectez le plan, ou ne le commencez pas. »
Cela fait maintenant 16 mois que je prends Safran (11 à 13 gouttes, personnellement) tous les soirs. La qualité de mon sommeil en dépend car je suis plus relaxée chaque soir. C'est un excellent produit qui tient ses promesses. Au début, il faut savoir doser car on a chacun sa sensibilité. Mais maintenant, j'ai trouvé la bonne dose pour moi. En plus, j'ai reçu un coupon pour mon anniversaire sur tout le site, je n'ai pas pu m'empêcher d'en recommander pour me faire un petit stock. Le prix semble élevé mais il dure assez longtemps et pour un sommeil de qualité, cela n'a pas de prix. Un grand MERCI.
Produit miracle ! Je suis une habituée des compléments alimentaires et prends souvent de la griffonia, associée au magnésium dans les périodes de vie plus stressantes ou intenses. Cette année, j'ai changé, j'ai tenté le safran de The Main Ingrédient Company et je ne regrette absolument pas. C'est un produit incroyable qui m'a permis de me sentir plus sereine, d'avoir un sommeil récupérateur, d'être toujours positive et plus gaie, bref de me sentir beaucoup mieux !
Je le recommanderai dès la rentrée prochaine sans hésiter une seconde !
Je vous remercie infiniment pour ce produit exceptionnel que je prends depuis plus d'un mois. Une demi-cuillère à café (environ 3 ml tous les soirs dilué dans un petit verre d'eau) me permets de passer des nuits de sommeil digne de ce nom. C'est merveilleux ! Je rêve profondément et même si j'ai 1 ou 2 réveils nocturnes de temps en temps, je me rendors vite. J'ai remarqué que je me lève plus tôt qu'avant (au moins 1 heure avant), signe que j'ai forcément dû passé une nuit récupératrice. Vraiment, c'est un miracle pour moi. De plus, je suis tellement plus calme et posée dans la journée, les soucis de la vie semblent glissés sur moi ! Vraiment MERCI !!
Après 1 semaine de prise de Safran Oméga en sublingual le soir avant le coucher, la promesse est tenue. Je me sens tellement mieux, plus serein avec un meilleur sommeil et donc plus en forme le lendemain au lever. De plus, selon certaines études, le safran agit aussi comme antifongique en cas de candidose oro-intestinale. La mélisse permet d’apaiser la sphère digestive dont l’estomac. Je recommande ce produit à 100%. Merci à TMIC de proposer un produit aussi qualitatif, je le reprendrai à coup sûr.
Je l utilise depuis plus d un an Je suis beaucoup moins fatiguée belle peau ongles solides cheveux fortifies sincèrement ce produit est top ! Plein avantage bonus et santé
Superbe spiruline. 2.0 ! J'en prends depuis bientôt un mois et mon système immunitaire est au top malgré l'épidemie de grippe cet hiver. Je recommande fortement à toute personne soucieuse de sa santé.
Regain d'énergie conséquent.
Mon endurance s'en est amélioré.
Je suis aussi plus concentré dans mes tâches quotidiennes.
Un produit à avoir et consommer da façon quotidien. 🙂
Je ne suis sans doute pas objectif , mais même en tant que contributeur à la création de ce produit.. les effets que nous obtenons continuent à me surprendre à travers nos utilisateurs. Si l'on prête la plupart des effets les plus importants de la Spiruline à la phycocyanine qu'elle contient, le pari de lui associer une phycocyanine préalablement libérée nous a amenés plus loin que nous ne l'aurions jamais imaginé et les résultats excèdent tout simplement la somme de deux éléments.
Franchement d’habitude je desteste le goût de la spiruline et ne peux jamais la prendre en poudre ou liquide … mais là elle est nickel je le vois sans faire de grimaces ! je sens vraiment la différence quand à mon énergie et ma santé .
Je le recommande les yeux fermé et en reprendrai à coup sûr .
Le flacon est assez gros et le produit a une couleur verte profonde magnifique.
Excellent produit qui n’a pas d´equivalent sur le marché ! Les effet dynamisants de la spiruline enrichie en phyco libre sont évidents et clairement ressentis dès le 1er mois de cure, une valeur sure, la qualité et l’ethique sont au rendez-vous 👌🏽
L’alliée naturelle de mon énergie, de ma résistance et de ma performance globale !
Depuis plus de trois ans, la Phycocyanine X35 de The Main Ingredient Company est un pilier de ma routine bien-être. Issue de la spiruline, cette molécule rare est un pigment-protéine reconnu pour ses propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires, immunostimulantes et protectrices cellulaires.
La formulation X35 se démarque par une concentration exceptionnelle et une pureté irréprochable, ce qui maximise son assimilation et prolonge son efficacité. Cela se traduit par des effets concrets : amélioration de la résistance physique, augmentation de l’endurance, récupération musculaire accélérée après l’effort, renforcement de la performance mentale et soutien de la clarté d’esprit même en période de forte sollicitation.
Au niveau biologique, la phycocyanine agit comme un véritable bouclier contre le stress oxydatif, neutralisant les radicaux libres responsables du vieillissement cellulaire prématuré. Elle stimule la production naturelle d’énergie cellulaire (ATP), favorise la régénération des tissus et optimise la fonction immunitaire. J’ai également observé un effet stabilisateur sur l’humeur et une meilleure capacité à rester concentré dans la durée.
Ce qui rend cette phycocyanine unique, c’est aussi la philosophie de The Main Ingredient Company : des produits pensés pour aider, contribuer et accompagner durablement, avec une exigence de qualité qui dépasse les standards habituels. Pour toute personne souhaitant améliorer son énergie, développer sa résistance physique, optimiser ses performances et soutenir son système immunitaire, la Phycocyanine X35 The Main Ingredient Company est un choix d’exception.
Animatrice sportive de cours collectifs,(18h/semaine) cette phyco me permet de récupérer rapidement et d’être toujours en forme. Je suis fan !!
En plus mon sommeil est bien meilleur.
J’en prenais déjà depuis plusieurs années, mais rien à voir avec celle-ci ! Pour moi c’est de la bombe !
Merci pour cette top qualité. ( j’ai 60 ans)
Produit utilisé pour ma jument une Irish cob de 11ans ayant une grave fourbure. La phycocyanine a agit comme puisant anti inflammatoire et a été d’une grande aide pour elle. J’ai commencé a voir les bénéfices en 3-4 jours. Aujourd’hui elle n’en a plus besoin.
Produits de très grande qualité. Cela fait 2 ans que je commande de la phycocyanine ainsi que de la curcumine pour mes chevaux et je n’ai jamais été aussi satisfaite des résultats!!
De plus , vendeuse très à l’écoute et fait tout pour satisfaire son client. Je recommande les yeux fermés .
Merci à vous , ne changez rien.
Morgane .
J'ai découvert phycocyanine x35 grâce à un médecin micronutritionniste qui m'a vanté la qualité des produits de the main ingredient company. Je prends ce traitement afin d'améliorer mon état de santé, étant atteinte d'une encéphalomyélite myalgique (fatigue intense avec difficulté de récupération : mes batteries se déchargent plus vite qu'elles ne se chargent).
La phycocyanine est une véritable aide pour maintenir mon niveau d'énergie, ma vitalité, mon immunité sans retomber dans le cycle infernal des malaises post-efforts.
J'utilise les produits de TMIC depuis 5 ans dans le cadre de ma pratique sportive en course à pied & trail. La Phycocyanine X35 et la Curcumine sont devenues de précieuses alliées lors de cycles de préparation intenses : la Phyco me permet d'encaisser de grosses charges d'entraînement tout en favorisant ma récupération, la Curcumine m'aide à minimiser le process inflammatoire lorsque des petites douleurs surviennent/reviennent. Bref, aujourd'hui, ces produits m'aident à performer dans la durée… je ne peux plus m'en passer ! Merci d'exister TMIC 🙂
J'ai fait une cure de 90 jours de Phycocyanine X35 et ce produit remplace largement la vitamine C, le magnésium et autres compléments que j'avais l'habitude de prendre. J'ai gagné très vite en vitalité, en énergie, en performances sportives et je n'ai pas été malade de l'hiver . De plus, mes douleurs d'arthrose au poignet ont pratiquement totalement diminué pendant mon traitement alors que je ne prenais pas ce produit pour ça. C'est facile à prendre chaque matin, on peut transporter la bouteille partout.
Ce produit est surprenant et je n'ai plus envie de m'en passer.
Choix des options
Ce produit a plusieurs variations. Les options peuvent être choisies sur la page du produit
Phycocyanine Omega X35, énergie et endurance
Phycocyanine Omega ω X35 est hautement concentrée (~40000mg/L, sujet à contrôle) à partir de la Spiruline. Elle est étudiée pour son potentiel antioxydant (EFSA ID 1867) et son rôle de soutien de la vitalité (EFSA ID 2737). Elle pourrait ainsi contribuer à réduire le stress oxydatif, et soutenir la récupération musculaire, intéressants pour les journées intenses ou l’entraînement sportif.
Action Clé : la phycocyanine (pigment de la spiruline) est souvent citée pour renforcer la vitalité et aider les défenses naturelles (EFSA ID 1876). Plusieurs de nos témoignages évoquent un regain d’énergie notable.
Safran Omega associe le safran (Crocus sativus) et la mélisse, qui sont étudiés pour moduler positivement l’humeur et la réponse au stress (EFSA ID 2038, 2084). Le safran est traditionnellement réputé pour contribuer à l’équilibre émotionnel, tandis que la mélisse peut favoriser un fonctionnement cognitif normal.
Action Clé : Selon des études préliminaires, le safran pourrait influer sur la disponibilité de certains neurotransmetteurs (sérotonine, dopamine) liés à l’humeur. Ses effets positifs sur l’équilibre émotionnel sont encore en cours d’évaluation (EFSA ID 2038).
Choix des options
Ce produit a plusieurs variations. Les options peuvent être choisies sur la page du produit
Curcumine Omega, résilience et protection
Curcumine Omega est souvent mise en avant pour soutenir les mécanismes liés à l’inflammation (EFSA ID 2598) et pour son rôle antioxydant (EFSA ID 4009). Elle pourrait ainsi contribuer à un meilleur confort articulaire et musculaire, notamment chez les personnes actives.
Action Clé : La curcumine est étudiée pour moduler la réponse inflammatoire et protéger les tissus (EFSA ID 2598). Elle intéresse particulièrement les sportifs et ceux qui souhaitent maintenir une bonne mobilité.
Spiruline Omega ω : Énergie, nutriments et gestion du poids
Spiruline Omega est une formule riche en protéines, vitamines et minéraux (EFSA ID 1858). Des études suggèrent qu’elle peut contribuer au maintien de la vitalité (EFSA ID 2737) et aider à réguler l’appétit (EFSA ID 1858). Elle est donc appréciée pour la gestion du poids, tout en soutenant l’équilibre nutritionnel.
Action Clé : La spiruline est réputée pour soutenir les défenses naturelles (EFSA ID 2583) et améliorer la sensation de tonus.
Phycocyanine Omega X12, énergie et endurance – 30 jours
Découvrez Phycocyanine ω X12 (~14000mg/L), la “petite sœur” de X35. Même principe d’extraction de spiruline, pour une cure d’un mois. Son degré de concentration plus modéré peut convenir pour une première approche. Pour une concentration encore plus élevée et une cure 90 jours : Phycocyanine X35.
Action Clé : Comme X35, X12 met en avant la phycocyanine, pigment étudié pour soutenir la fonction immunitaire et l’énergie (EFSA ID 1876).
Ce n’est pas « obligatoire » pour tout type de jeûne, mais c’est la synergie entre le jeûne modulé et le protein pacing qui semble produire les résultats exceptionnels de cette étude. Le jeûne seul peut aider à la perte de poids, mais le risque de perte musculaire est réel. Le « protein pacing » agit comme une assurance pour préserver (voire construire) la masse maigre, qui est le moteur de votre métabolisme, tout en contrôlant la faim.
C’est possible, mais il faut être prudent et écouter son corps. Une activité de faible intensité comme la marche, le yoga doux ou un léger footing est généralement bien tolérée. Évitez les entraînements de haute intensité (HIIT, musculation lourde) qui pourraient générer un stress excessif. Le « repas tampon » du soir peut être stratégiquement placé après votre activité pour aider à la récupération. La priorité est de ne pas transformer le stress métabolique bénéfique du jeûne en un stress systémique délétère.
La variété et la qualité sont les clés. Visez des sources complètes en acides aminés. Pour les repas principaux : viandes maigres, volailles, poissons, œufs, tofu, tempeh. Pour les collations : un shake de whey ou de caséine de haute qualité, du yaourt grec ou du skyr, une poignée d’oléagineux accompagnée d’une source de protéines. L’important est d’atteindre le seuil de 25-40g par prise pour maximiser le signal de synthèse musculaire.
Oui, mais avec une attention particulière. Le système hormonal féminin peut être plus sensible aux longues périodes de jeûne. Le « repas tampon » du protocole IF-P est un atout majeur car il pourrait atténuer le signal de « famine » qui peut perturber le cycle menstruel chez certaines femmes. Il est crucial de commencer par le jeûne le plus court (36h), de surveiller attentivement les signaux de son corps (énergie, sommeil, cycle) et de ne pas hésiter à adapter le protocole. Une consultation avec un professionnel de santé est toujours recommandée.
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Thomas DeLauer, ce YouTubeur américain à la curiosité insatiable, que l’on aime bien chez « the main » pour sa capacité à vulgariser des sujets ardus, remet une pièce dans la machine. Il nous présente une étude qui, pour une fois, ne se contente pas de recycler les vieux poncifs. Une étude qui compare la bonne vieille restriction calorique (CR) à un protocole hybride, subtil et franchement intrigant : le « Intermittent Fasting + Protein Pacing », ou IF-P.
Les résultats sont, pour le dire poliment, assez phénoménaux. Mais comme toujours, derrière les chiffres qui claquent, se cache une mécanique qu’il faut démonter. Et c’est précisément ce que nous allons faire.
Le “régime” et la Restriction calorique : Brève histoire d’un échec annoncé
L’injonction « manger moins, bouger plus » est si ancrée dans l’inconscient collectif qu’elle semble relever de l’évidence. Pourtant, comme le résume crûment le Dr Jason Fung, cette approche affiche un taux d’échec de 99,5%. Ce chiffre, tiré d’une vaste étude britannique de 2015, ne fait que quantifier un constat amer : en pratique, la restriction calorique simple est une stratégie de siège que le corps finit presque toujours par déjouer. Pour comprendre comment nous en sommes arrivés à ce dogme tenace, un bref retour en arrière s’impose.
Les fondations furent posées à la fin du XVIIIe siècle, lorsque Lavoisier et Laplace assimilèrent le métabolisme à une forme de combustion, ouvrant la voie à la calorimétrie. Un siècle plus tard, Atwater standardisait le comptage avec ses fameux facteurs 4-4-9 (calories par gramme de glucides, protéines, lipides), transformant la nutrition en une affaire de comptabilité. Mais dès 1863, une voix dissidente, celle de William Banting, proposait une « Letter on Corpulence » prônant une diète pauvre en sucres, ancêtre direct de l’approche « low-carb ».
La fissure dans le modèle purement calorique s’est élargie en 1945 avec la célèbre « Minnesota Starvation Experiment ». L’étude a démontré de manière implacable la réponse du corps à une privation sévère : chute drastique du métabolisme de base, fatigue, obsession pour la nourriture. Le corps ne se laisse pas affamer passivement ; il s’adapte, il résiste. Malgré cela, les décennies suivantes virent le triomphe du paradigme « low-fat », qui focalisait l’attention sur les lipides et occultait la complexité du métabolisme.
Le véritable tournant eut lieu dans les années 90, avec la découverte de la leptine puis de la ghréline. On comprenait enfin que le tissu adipeux n’était pas un simple stock de calories, mais un organe endocrinien actif, et que la faim et la satiété étaient régulées par un ballet d’équilibre hormonal complexe. Le corps n’est pas une calculatrice, c’est un système de régulation. Des études plus récentes, notamment le suivi des candidats de « The Biggest Loser », ont confirmé que cette adaptation métabolique (« adaptive thermogenesis ») est durable : même des années après une perte de poids massive, le métabolisme reste freiné, favorisant la reprise. C’est cet échec de l’approche frontale qui a ouvert la voie à des stratégies plus fines, comme le jeûne intermittent et la chrono-nutrition, qui cherchent moins à forcer l’organisme qu’à dialoguer avec sa biologie.
Le Ring de la Diète – Régime à l’ancienne contre stratégie métabolique + jeûne intermittent
Pour comprendre l’enjeu, il faut présenter les combattants.
D’un côté, nous avons le tenant du titre, la Restriction Calorique (CR). C’est la méthode de l’expert-comptable appliquée à la nutrition : on dépense plus de calories qu’on n’en consomme. C’est simple, c’est logique, et ça fonctionne… jusqu’à un certain point. On connaît ses limites : la faim lancinante, la fatigue, la baisse du métabolisme basal, et cette désagréable impression de mener une vie en nuances de gris. C’est une stratégie de siège, lente et éprouvante.
De l’autre côté, le challenger, le IF-P : une stratégie en deux temps, qui combine le choc et la reconstruction.
Temps 1 : Le Jeûne Long… mais pas tout à fait.
Le protocole IF-P impose un jeûne long d’une à deux fois par semaine, de 36 ou 60 heures. Jusqu’ici, rien de révolutionnaire. Mais là où les auteurs de l’étude font preuve de finesse, c’est qu’ils brisent la règle d’or du jeûne pur et dur. Au cours de cette longue période, les participants avaient le droit à une petite « réincorporation calorique » de 20 à 25 % de leurs besoins quotidiens, souvent le soir. Un petit repas, comme une trêve au milieu de la bataille. L’idée est brillante : rendre le jeûne psychologiquement plus tenable et, potentiellement, envoyer un signal au corps pour qu’il ne panique pas complètement et n’active pas tous les mécanismes de survie qui sabotent la perte de graisse.
Temps 2 : La Reconstruction Intensive, ou le « Protein Pacing ».
Les cinq ou six autres jours de la semaine, le protocole change radicalement. Fini le jeûne, place à la reconstruction. Les participants suivaient un régime hyper-structuré, avec 4 à 5 repas par jour, chacun contenant 30 à 40 grammes de protéines. C’est ce qu’on appelle le « Protein Pacing » : un apport en protéines massif et rythmé tout au long de la journée. Le but est clair : maximiser la synthèse musculaire, contrôler la faim et fournir au corps tous les matériaux nécessaires pour se réparer et se renforcer.
En somme, on a d’un côté une guerre d’usure (la restriction calorique classique) et de l’autre, une opération chirurgicale : un choc métabolique contrôlé suivi d’une phase de soutien et de reconstruction intensive. Le tout, et c’est crucial, à apport calorique hebdomadaire équivalent.
Les Chiffres qui Mettent K.O. – Quand la Science Dépasse la Fiction
Si le protocole est élégant, les résultats, eux, sont brutaux. L’étude, menée sur 8 semaines, a montré des écarts qui laissent songeur :
C’est un grand chelem. Sur tous les tableaux, le protocole IF-P surclasse la restriction calorique classique. La question n’est plus « est-ce que ça marche ? », mais « pourquoi ça marche si bien ? ».
L’Avis du Professeur Debunk : « There is no free lunch ? »
« Bon. Les chiffres sont impressionnants, on ne va pas se mentir. Un protocole qui pulvérise la graisse viscérale tout en préservant la masse maigre et en réduisant la faim, sur le papier, c’est le scénario parfait. Mais avant de transformer nos cuisines en laboratoires de « protein pacing », quelques détails.
Premièrement, le sponsor. L’étude a été financée par Isagenix, une entreprise qui vend… des produits riches en protéines. Est-ce que ça invalide les résultats ? Non. Un résultat est un résultat. Mais ça exige ce qu’on appelle en science une réplication par des équipes indépendantes. Tant que ce n’est pas fait, on reste dans le domaine du « très prometteur », pas de la « vérité gravée dans le marbre ».
Justement, parlons du modèle économique du sponsor. Sans jeter le bébé avec l’eau du bain, et avec tout le respect pour ceux qui cherchent des solutions, nous avons une divergence philosophique avec le modèle de marketing de réseau (MLM) lorsqu’il glisse vers certaines pratiques. Le marketing de réseau, basé sur la recommandation humaine, peut être un outil de distribution intéressant. Mais quand le système rémunère davantage le recrutement de nouveaux vendeurs que la vente réelle de produits aux consommateurs finaux, la structure devient problématique et, historiquement, s’avère souvent être le précurseur de pyramides de Ponzi et de complications juridiques. Sans faire de procès d’intention à Isagenix, ce modèle n’est tout simplement pas le nôtre.
Enfin, la question des protéines non-équivalentes. Le groupe IF-P mangeait, par dessein, beaucoup plus de protéines que le groupe CR. Est-ce que les résultats spectaculaires viennent du jeûne, ou simplement du fait qu’un régime hyperprotéiné est plus efficace pour la satiété et la préservation musculaire ? Probablement un peu des deux. Isoler la contribution exacte de chaque variable est impossible ici. C’est une limite majeure.
Verdict du Professeur : Ce protocole IF-P est une pièce d’ingénierie nutritionnelle brillante et probablement très efficace. Mais ne jetez pas encore toutes vos anciennes habitudes par la fenêtre. C’est une piste de recherche exceptionnelle, pas un dogme. Prometteur, oui. Révolutionnaire ? Attendez la confirmation. »
La Passerelle Inattendue – Ce que le Cheval Nous Apprend sur le Jeûne Humain
Chez « the main », cette étude nous parle particulièrement. Pourquoi ? Parce qu’elle fait écho à un principe que nous défendons ardemment dans un autre domaine : la nutrition équine. Dans notre travail avec Catherine Vasseur, nous avons montré à quel point la restriction fourragère brutale chez un cheval en surpoids est une « ironie biologique ». En le privant de nourriture, on déclenche une « réponse de famine », une cascade de stress hormonal (cortisol) qui aggrave la résistance à l’insuline et favorise la perte de muscle.
Que fait l’étude sur l’IF-P ? Elle introduit une petite collation pendant le jeûne long. C’est un détail qui change tout. C’est une manière de dire au corps : « Ceci n’est pas une famine. C’est une pause contrôlée. Ne panique pas. » C’est une modulation intelligente, une façon de murmurer à l’oreille de notre biologie ancestrale pour qu’elle ne surréagisse pas.
La leçon est la même, du cheval à l’homme : ne jamais déclarer la guerre à sa propre physiologie. Un jeûne total et brutal peut être perçu comme une agression. Un jeûne modulé, accompagné d’un soutien nutritionnel intelligent, devient un outil. C’est toute la différence entre la force brute et la finesse.
Et « the main », Dans Tout Ça ? – Au-delà du Protocole
Cette étude ne fait que renforcer notre conviction la plus profonde. La santé et la performance ne sont pas le fruit d’une seule « astuce », que ce soit le jeûne, un super-aliment, ou une molécule miracle. C’est le résultat d’une approche intégrative.
Le protocole IF-P ne fonctionne pas uniquement parce qu’il y a du jeûne. Il fonctionne parce que le jeûne est intelligent, et parce que les jours de nutrition sont optimisés avec un apport massif et rythmé en protéines. C’est la synergie qui crée le résultat.
C’est exactement notre philosophie. Nous ne proposons pas des solutions qui se substituent à une hygiène de vie, mais des outils qui la complètent. Le « Protein Pacing » met en lumière l’importance capitale non seulement de la quantité de protéines, mais de leur qualité, de leur biodisponibilité et du moment de leur ingestion. C’est sur ces détails que nous travaillons.
Le Mot de la Fin
Alors, que retenir de tout ça ? Le jeûne intermittent n’est ni un dieu ni un diable. C’est un outil, dont l’efficacité dépend de la manière dont on le manie. Le protocole IF-P est fascinant parce qu’il le manie avec une finesse rare, en le combinant avec une stratégie de reconstruction musculaire et de contrôle de la satiété.
Il nous rappelle que le corps n’est pas une simple calculatrice de calories. C’est un système complexe de signaux, d’hormones et d’adaptations. Et la meilleure façon de le guider vers nos objectifs n’est pas de le brutaliser, mais de comprendre son langage.
La science est un dialogue permanent, pas un monologue. Et cette étude vient d’ouvrir une conversation absolument passionnante.
BONUS : Et si moi, j’ai envie d’essayer ? – Le Protocole en Pratique
Alors, pour vous qui vous dites, après avoir lu tout ça : « D’accord, c’est prometteur, mais concrètement, on fait comment ? ». La réponse n’est pas une recette miracle, mais un protocole à tester, pas une religion à adopter. L’idée est de mener une expérience personnelle sur 14 jours, avec rigueur et curiosité.
1. Le Grand Calme Hebdomadaire : Choisir son Jeûne Modulé
La première étape est de choisir votre rythme de « respiration métabolique ». L’étude propose deux options, à tester selon votre tolérance et votre mode de vie :
Ce « repas tampon » est la clé. Ce n’est pas de la triche ; c’est un signal de paix envoyé à votre organisme pour limiter la réponse de stress, tout en maintenant les bénéfices du jeûne sur la semaine. Durant ces périodes, l’hydratation est non-négociable : eau, tisanes, café noir, et une pincée d’électrolytes pour éviter les maux de tête.
2. Les Jours de Reconstruction : La Discipline du « Protein Pacing »
Les 5 ou 6 autres jours de la semaine sont dédiés à la reconstruction. C’est là que la magie opère. La règle est simple :
Ce n’est pas juste « manger plus de protéines ». C’est les répartir intelligemment pour maximiser la satiété et nourrir la masse musculaire en continu.
3. L’Écosystème du Succès : Les Habitudes qui Soutiennent le Protocole
Un protocole n’est rien sans son environnement. Pour mettre toutes les chances de votre côté, l’étude et le bon sens recommandent :
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Pour aller plus loin : Comment consommer la spiruline ? ou Spiruline : contre-indications
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Le 'protein pacing' est-il obligatoire pour que le jeûne intermittent fonctionne ?
Ce n’est pas « obligatoire » pour tout type de jeûne, mais c’est la synergie entre le jeûne modulé et le protein pacing qui semble produire les résultats exceptionnels de cette étude. Le jeûne seul peut aider à la perte de poids, mais le risque de perte musculaire est réel. Le « protein pacing » agit comme une assurance pour préserver (voire construire) la masse maigre, qui est le moteur de votre métabolisme, tout en contrôlant la faim.
Est-ce que je peux faire du sport pendant les jours de jeûne long ?
C’est possible, mais il faut être prudent et écouter son corps. Une activité de faible intensité comme la marche, le yoga doux ou un léger footing est généralement bien tolérée. Évitez les entraînements de haute intensité (HIIT, musculation lourde) qui pourraient générer un stress excessif. Le « repas tampon » du soir peut être stratégiquement placé après votre activité pour aider à la récupération. La priorité est de ne pas transformer le stress métabolique bénéfique du jeûne en un stress systémique délétère.
Quelle source de protéines privilégier pour le 'protein pacing' ?
La variété et la qualité sont les clés. Visez des sources complètes en acides aminés. Pour les repas principaux : viandes maigres, volailles, poissons, œufs, tofu, tempeh. Pour les collations : un shake de whey ou de caséine de haute qualité, du yaourt grec ou du skyr, une poignée d’oléagineux accompagnée d’une source de protéines. L’important est d’atteindre le seuil de 25-40g par prise pour maximiser le signal de synthèse musculaire.
Ce protocole est-il adapté pour les femmes ?
Oui, mais avec une attention particulière. Le système hormonal féminin peut être plus sensible aux longues périodes de jeûne. Le « repas tampon » du protocole IF-P est un atout majeur car il pourrait atténuer le signal de « famine » qui peut perturber le cycle menstruel chez certaines femmes. Il est crucial de commencer par le jeûne le plus court (36h), de surveiller attentivement les signaux de son corps (énergie, sommeil, cycle) et de ne pas hésiter à adapter le protocole. Une consultation avec un professionnel de santé est toujours recommandée.
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