Compléments alimentaires pour maigrir : entre mythes et réalités scientifiques.
EFSA – Compliance II 2025.2
Dans une société obsédée par l’image et la quête de la silhouette idéale, les compléments alimentaires pour la perte de poids occupent une place grandissante. Promesses de résultats rapides, solutions « miracles », ces produits inondent le marché et les médias. Mais que dit réellement la science à leur sujet ? Quels sont les effets avérés et quelles illusions peuvent persister ? Cet article se propose de démêler le vrai du faux, en adoptant une approche critique et éclairée, tout en mettant en lumière les produits de the main ingredient company, entreprise française engagée dans une démarche de qualité et de transparence. Nous vous encourageons également à consulter notre page dédiée aux Sujet global sur les compléments sportifs et à découvrir comment la spiruline, en tant qu’ingrédient reconnu (EFSA on hold), peut s’intégrer dans une approche globale Compléments alimentaires santé, mais aussi dans une stratégie de prise de poids saine.
L’essor des compléments « miracles » pour maigrir : une réalité à nuancer
L’engouement pour les compléments alimentaires est indéniable. Face à la popularité de certains médicaments utilisés hors indication pour la perte de poids (tels que l’Ozempic, initialement indiqué dans le diabète), de nombreux produits prétendent offrir des solutions « naturelles » aux effets comparables. Des gélules aux thés en passant par les poudres exotiques, le consommateur est submergé d’options.
Cependant, le Dr Joe Schwarcz, directeur de l’Office for Science and Society à l’Université McGill au Canada, avertit : « Ils prennent des fragments de faits scientifiques et les amplifient de manière disproportionnée. » Il est donc essentiel de garder un esprit critique face à ces promesses, d’autant plus que les compléments alimentaires ne sont pas des médicaments et ne doivent en aucun cas s’y substituer.
La nécessité d’une approche scientifique rigoureuse
Avant de se lancer dans la consommation de compléments alimentaires pour maigrir, il est crucial de s’informer sur leur efficacité réelle. Le Dr Pieter Cohen, professeur associé à la Harvard Medical School, souligne : « Aucun complément actuellement sur le marché ne peut entraîner à lui seul une perte de poids spectaculaire. S’il existait un produit sûr et à l’efficacité médicale avérée, il serait prescrit comme un traitement officiel. »
Loin de disqualifier les compléments alimentaires, cette affirmation nous invite à replacer les allégations dans leur contexte, à savoir des allégations de santé non médicamenteuses. Chaque ingrédient est évalué ou en cours d’évaluation (on hold) par l’EFSA. Il est donc important de se baser sur ces référentiels pour un usage loyal et conforme à la réglementation.
Focus sur certains compléments : entre espoirs et réalités
La Spiruline et la Phycocyanine : des super-aliments sous la loupe
Face à la prolifération de produits miracles, il est essentiel d’adopter une perspective scientifique. Certains actifs d’origine naturelle, comme ceux utilisés par the main ingredient company (extraits de spiruline, curcumine, safran), ont fait l’objet d’études. Toutefois, on doit distinguer les effets spécifiquement reconnus pour la spiruline dans la liste on hold (ID EFSA) des hypothèses en cours de validation.
Prenons l’exemple de la spiruline. Certaines études évoquent qu’une supplémentation quotidienne d’environ 1 g à 4 g pendant plusieurs semaines peut contribuer à la gestion du poids en aidant à réduire l’appétit et en contribuant à la vitalité générale (EFSA ID 2737). Cela reste un soutien potentiel, et non une promesse de “fonte des kilos” toute seule. Pour approfondir la question, vous pouvez consulter notre page sur Comment prendre la spiruline pour maigrir.
Quant à la phycocyanine, elle est un pigment présent dans la spiruline, objet de nombreuses études exploratoires. Toutefois, la phycocyanine elle-même n’a pas d’allégation autorisée. L’EFSA, via l’ID 1858, évoque la spiruline dans la gestion du sentiment de faim. Les chercheurs suggèrent que c’est notamment l’un de ses pigments, la phycocyanine, qui serait impliqué. Comme le rappelle le Dr. Jeff Katula, professeur associé en sciences de la santé et de l’exercice à l’Université Wake Forest : « …plutôt que de voir chaque journée comme un échec ou une réussite absolue, il est préférable de considérer chaque décision individuelle comme une nouvelle opportunité d’agir en faveur de sa santé. Par exemple, le fait de manquer une séance de sport ne doit pas être une excuse pour ignorer son alimentation. Bien au contraire, c’est justement à ce moment-là que chaque choix alimentaire compte encore plus ».
La Curcumine : l’or épicé sur la voie d’une meilleure biodisponibilité
La curcumine, principal composé actif du curcuma, est traditionnellement réputée pour ses propriétés antioxydantes et son potentiel anti-inflammatoire (EFSA ID 2598 – en cours d’évaluation). Des études se sont penchées sur un rôle potentiel de la curcumine dans l’équilibre métabolique. Toutefois, la biodisponibilité de la curcumine est naturellement faible, d’où l’intérêt de formulations améliorées comme celles proposées par the main ingredient company pour optimiser son assimilation.
Le Dr Rhonda Patrick, biochimiste, rappelle : “Bien que prometteuse pour l’équilibre cellulaire et articulaire, la curcumine demande plus de recherches pour confirmer tout impact direct sur la perte de poids”. C’est donc un supplément à utiliser en soutien global, et non comme produit unique à visée minceur.
Le Safran : un possible allié contre les fringales émotionnelles
Le safran bénéficie d’allégations en cours de validation, notamment pour son soutien à l’équilibre émotionnel (EFSA ID 2038). Des travaux de recherche suggèrent qu’il pourrait aider à limiter le grignotage dû au stress ou à l’humeur, en modulant la sérotonine. Cependant, il s’agit d’un axe d’exploration. Toute démarche de perte de poids impliquant une gestion émotionnelle nécessite un accompagnement complet (activités de gestion du stress, suivi psychologique si besoin, etc.). Pour mieux comprendre ces dimensions, n’hésitez pas à lire notre page dédiée à la gestion du stress et au bien-être émotionnel.
Choix des options
Ce produit a plusieurs variations. Les options peuvent être choisies sur la page du produit
Phycocyanine Omega X35, énergie et endurance
Phycocyanine Omega ω X35 est une formule très concentrée (40000mg/L) conçue à partir d’extraits de Spiruline. Dans la liste on hold, la Spiruline peut contribuer à maintenir la vitalité (EFSA ID 2737), soutenant l’endurance et la récupération, tout en protégeant les cellules du stress oxydatif (EFSA ID 1867). Nous rappelons que la phycocyanine en elle-même ne dispose pas d’allégation validée : son intérêt repose sur les propriétés attribuées à la Spiruline.
Action Clé : la Spiruline (dont la phycocyanine est un pigment) aide à maintenir l’énergie, la résistance et le tonus (EFSA ID 1876/2737). L’effet sur l’appétit ou la fatigue mentionné dans certaines études est un champ de recherche en cours.
Curcumine Omega exploite une curcumine hautement biodisponible. La Curcuma longa est reconnue pour ses propriétés antioxydantes (EFSA ID 4009) et un potentiel anti-inflammatoire traditionnel (ID 2598, sous réserve de validation). Elle peut s’inscrire dans un soutien du confort articulaire et de la récupération globale.
Action Clé : La curcumine agit sur le confort articulaire (EFSA ID 3748), tout en offrant un effet antioxydant (ID 4009). Comme toujours, elle ne remplace pas un traitement médical.
Safran Omega associe des extraits de safran (Crocus sativus) à de la mélisse. Selon les allégations en attente (EFSA ID 2038 et ID 2084), ces plantes pourraient contribuer à l’équilibre émotionnel et à un meilleur apaisement, notamment via la modulation de la sérotonine.
Action Clé : Le safran est étudié pour son rôle possible dans la réduction des fringales émotionnelles. Il ne s’agit toutefois pas d’un substitut à un accompagnement psychologique ni d’une promesse de perte de poids.
Spiruline Omega ω, énergie et apport micronutritionnel
Spiruline Omega est un superaliment riche en protéines, vitamines et minéraux (EFSA ID 1858), souvent intégré pour combler certaines carences, soutenir la vitalité et aider à maintenir un équilibre nutritionnel. Par sa haute densité micronutritionnelle, elle peut s’inscrire dans une démarche globale d’hygiène de vie.
Action Clé : Selon les allégations spiruline on hold (ID 1858), elle peut contribuer à la régulation de l’appétit (aide à réduire le sentiment de faim). Plusieurs études (Zeinalian et al., 2017, etc.) explorent cet effet. Néanmoins, la perte de poids finale dépendra surtout du mode de vie, de l’apport calorique total et de l’exercice physique.
Phycocyanine Omega X12, énergie et endurance – 30 jours
Découvrez Phycocyanine ω X12 (14000mg/L), la « petite sœur » de la X35. Issue de spiruline, elle peut soutenir la vitalité et l’endurance (référence spiruline EFSA ID 2737), en cure plus courte. Pour une concentration plus élevée ou une cure plus longue, voir la Phycocyanine X35. Rappel : la phycocyanine en tant que telle ne dispose pas d’allégation propre, mais son intérêt se fonde sur l’usage traditionnel de la spiruline.
Action Clé : D’après les études menées sur la spiruline (ID 1876), la Phycocyanine ω X12 peut participer à l’équilibre énergétique, dans le cadre d’une alimentation et d’un mode de vie sains.
Que dit réellement la science ?
Dans le domaine des compléments alimentaires pour la perte de poids, les effets des produits naturels sont souvent exagérés par le marketing. Cela ne veut pas dire que tout est infondé : la spiruline, par exemple, peut aider à moduler la sensation de faim (ID 1858, en cours d’évaluation). Plusieurs études (Zeinalian 2017, Yousefi 2018, etc.) montrent une influence sur l’appétit et certains paramètres métaboliques.
Néanmoins, il s’agit avant tout d’un soutien dans un cadre global : adaptation des apports caloriques, activité physique et suivi diététique. Ainsi, on ne peut pas conclure à une perte de poids directe causée par la spiruline seule. C’est un outil complémentaire, comme la curcumine ou le safran, qui se combinent à un mode de vie sain.
Le Dr Scott Hagan, professeur adjoint de médecine à l’Université de Washington, rappelle : « L’utilisation de termes scientifiques dans le marketing peut donner une illusion d’efficacité absolue. Il est crucial de distinguer les preuves solides des hypothèses encore non vérifiées. »
« Ozempic », médicaments et perte de poids : quelles différences avec des approches naturelles ?
Ces dernières années, de nombreuses personnes s’intéressent à l’Ozempic, un médicament (agoniste du GLP-1) initialement destiné aux diabétiques, mais parfois détourné à des fins d’amaigrissement. Cet usage n’est pas sans risque, avec des effets secondaires potentiels (nausées, pancréatite, etc.). De plus, l’injection d’agonistes du GLP-1 n’est pas anodine : en venant “mimer” une hormone, on peut altérer des équilibres physiologiques. En aucun cas, un complément alimentaire ne saurait prétendre reproduire ou concurrencer l’action spécifique d’un médicament comme l’Ozempic.
Pour autant, on sait que le GLP-1 peut aussi être soutenu par des stratégies plus naturelles : un régime riche en fibres, l’exercice physique, le maintien d’une flore intestinale saine, etc. L’objectif n’est pas de “faire aussi bien” qu’un médicament, mais d’agir sur d’autres leviers (alimentation, santé digestive, micronutrition) pour favoriser un équilibre métabolique, sans effet “médicamenteux”.
Une vigilance indispensable
La mise en avant de l’Ozempic a popularisé l’idée qu’on pourrait “bloquer” la faim ou réduire drastiquement l’appétit. Mais sans suivi médical, on risque un déséquilibre plus grave, notamment si l’organisme est soumis à des carences. Les compléments alimentaires, quant à eux, n’ont pas pour fonction de bloquer les voies métaboliques : ils peuvent contribuer à un meilleur confort digestif, une plus grande vitalité, voire une aide indirecte à la gestion de l’appétit selon la plante ou l’actif visé (ex.: spiruline et faim, ID 1858). Les principes ne sont donc pas comparables à ceux d’un traitement médicamenteux, ce qui évite certains effets secondaires lourds, mais implique de conserver des attentes réalistes.
Pourquoi peut-on manquer de GLP-1 naturellement ?
La production insuffisante de GLP-1 peut être attribuée à divers facteurs, notamment :
Alimentation déséquilibrée : une alimentation riche en sucres raffinés et en graisses peut réduire la production de GLP-1.
Syndrome métabolique : des conditions telles que l’obésité ou le diabète compromettent souvent la capacité du corps à produire du GLP-1.
Inflammation intestinale : des troubles digestifs chroniques ou inflammatoires peuvent affecter la libération de GLP-1.
Stimuler naturellement la production de GLP-1
il est possible de stimuler naturellement la production endogène de GLP-1 essentiellement par le recours à un mode de vie sain
Régime riche en fibres solubles : consommer des aliments tels que l’avoine, les graines de chia et les légumineuses favorise la production naturelle de GLP-1 en stimulant les cellules intestinales.
Exercice physique régulier : l’activité physique stimule la libération de GLP-1, améliore la sensibilité à l’insuline et favorise un métabolisme sain, contribuant ainsi à une gestion du poids efficace et durable.
Aliments riches en protéines : les protéines, présentes dans le poisson, les œufs ou les yaourts, stimulent la production de GLP-1 et prolongent la sensation de satiété, réduisant ainsi les fringales.
Acides gras polyinsaturés : les oméga-3, présents dans les poissons gras et l’huile de lin, améliorent la fonction des cellules intestinales et favorisent la production naturelle de GLP-1.
(mise à jour 2024.10) Peter Attia : sur les médicaments mimant le GLP-1, effets prolongés et risques
Dans une récente session “AMA” (Ask Me Anything) diffusée le 7 octobre 2024, le Dr Peter Attia a détaillé son point de vue sur les agonistes du GLP-1 (exemple : Ozempic). Il souligne une efficacité réelle sur la perte de poids, mais rappelle que ces médicaments peuvent provoquer, à terme, une fonte musculaire et d’autres modifications corporelles. Peter Attia insiste sur la nécessité de maintenir un programme d’exercices et un suivi médical. Il encourage également les approches holistiques : hygiène de vie, compléments en soutien, ou encore gestion du stress. En d’autres termes, ni un complément ni un médicament ne doit être employé comme “solution unique”.
Des facteurs variés à prendre en compte
Une personne peut manquer de GLP-1 pour des raisons liées à son alimentation, son microbiote ou encore des comorbidités métaboliques. Dans de tels cas, privilégier un régime riche en fibres, équilibré, avec une activité sportive régulière et des ingrédients à potentiel immunomodulateur (par exemple, spiruline, probiotiques, etc.) contribue à un meilleur fonctionnement global de l’organisme. Contrairement aux traitements exogènes comme l’Ozempic, une approche naturelle va chercher à soutenir les mécanismes endogènes, avec moins de risques d’effets secondaires. Toutefois, il faut garder à l’esprit qu’on ne peut pas espérer des résultats aussi spectaculaires qu’un médicament.
L’importance d’une approche holistique
La perte de poids est un processus complexe : hygiène de vie, bilan hormonal, équilibre alimentaire, gestion du stress et du sommeil… Les compléments alimentaires peuvent être des alliés pour soutenir l’organisme, mais sans jamais se substituer à une alimentation équilibrée ou à l’exercice. Le Dr Mike Israetel, expert en sciences de l’exercice, souligne : « Un déficit calorique modéré, un apport protéique adéquat, et un entraînement adéquat constituent la base. Les compléments aident en appoint, mais ne remplacent pas ces fondamentaux. »
Le rôle du renforcement musculaire
Construire ou préserver la masse musculaire est essentiel pour favoriser un métabolisme actif. Andrew Huberman, neuroscientifique à Stanford, rappelle que la prise de muscle a un impact hormonal bénéfique (meilleure sensibilité à l’insuline, etc.). Dans une démarche de perte ou de maintien de poids, on gagne à conjuguer activité physique (renforcement) et équilibre alimentaire, éventuellement soutenu par des compléments (spiruline pour l’apport protéique, curcumine pour le confort articulaire…). Retrouvez des pistes plus détaillées dans notre article sur les compléments alimentaires dans le sport.
Les pièges à éviter
Face à la diversité de produits sur le marché, quelques écueils reviennent souvent :
Promesses trop belles : se méfier des slogans “perdez 5 kilos en 1 semaine” sans effort.
Manque de transparence : toujours vérifier les ingrédients, la provenance, le rapport de concentration effectif.
Risque pour la santé : un complément alimentaire ne doit pas être pris à l’aveugle, surtout si vous suivez des traitements médicamenteux. Un avis médical reste préférable en cas de doute.
Le Dr Melanie Jay, directrice d’un programme sur l’obésité à NYU Langone, met en garde : « Il est dangereux de croire qu’un complément peut se substituer à un médicament ou à une stratégie de santé adaptée ; un suivi reste indispensable. »
the main ingredient company : une volonté de responsabilité
Consciente de ces enjeux, the main ingredient company adopte une approche transparente et scientifique. Ses produits (spiruline, curcumine, safran, etc.) sont travaillés avec une exigence de traçabilité. Aucun de ces compléments n’est présenté comme un “brûleur de graisse” ou un “médicament pour maigrir”, mais comme un soutien possible dans une démarche globale.
Il s’agit d’apporter des formules concentrées et stables (ex.: phycocyanine X35, curcumine en microémulsion), pour mieux répondre aux besoins de chacun. La prudence et la responsabilité sont mises en avant : sur chaque fiche produit, vous trouverez la mention “complément alimentaire”, la liste des ingrédients, la posologie recommandée, et un rappel qu’un complément ne remplace pas un traitement médical ni une alimentation équilibrée.
Vers une consommation éclairée et responsable
En somme, les compléments alimentaires peuvent s’avérer utiles pour soutenir un équilibre global, à condition de :
S’informer : en se basant sur des sources sérieuses (ID EFSA, études cliniques, etc.).
Consulter un professionnel : surtout si vous avez une pathologie ou un doute.
Penser global : régime équilibré, sport, sommeil, etc. Les compléments s’inscrivent dans une hygiène de vie, sans promettre une perte de poids miraculeuse.
Comme le résume le Dr Peter Attia : “Les changements durables passent par une stratégie holistique. Les compléments peuvent contribuer, mais ne sont qu’un rouage dans la machine de la santé.”
Schwarcz, J. (Université McGill) : Observations sur le marketing des compléments.
Cohen, P. (Harvard Medical School) : Analyses critiques de l’efficacité réelle.
Katula, J. (Université Wake Forest) : Impact des habitudes de vie et de la motivation quotidienne.
Bartfield, J. (Université Loyola) : Études sur l’influence du safran et de l’humeur.
Israetel, M. : Fondements de l’entraînement et déficit calorique.
Attia, P. : Approche globale de la longévité et de la gestion du poids.
Patrick, R. : Rôle de la micronutrition et de la curcumine dans l’équilibre métabolique.
Réflexions Finales
par Professeur Debunk
Alors, nous voilà au cœur des “compléments alimentaires pour maigrir”. On entend parfois des discours tranchés : “Ça ne marche pas du tout !” ou à l’inverse “C’est révolutionnaire !”. La réalité se situe souvent entre les deux.
Commençons par éviter la caricature : un complément alimentaire n’est pas une baguette magique. Mais dire que rien n’a d’intérêt serait tout aussi réducteur. Les études sur la spiruline, le safran ou la curcumine sont là pour piquer notre curiosité scientifique. Tout n’est pas validé, certaines choses le sont partiellement, d’autres sont en cours d’évaluation. C’est normal : la recherche avance par étapes.
Ensuite, il y a le piège de confondre “indice de confiance” et “effet garantie”. Si vous prenez une formule concentrée de spiruline et que vous changez simultanément votre style de vie (plus de sport, moins de sucre), comment savoir qui fait quoi ? La réponse est : c’est souvent l’ensemble qui fonctionne en synergie, sans qu’on puisse isoler un effet unique. Et c’est d’ailleurs ce que nous rappelle la réglementation : un complément n’est pas un médicament !
Enfin, restons humbles. Les promesses ultra-marketing manquent rarement de sel. Dans la pratique, l’essentiel est de comprendre son propre corps, d’essayer (avec prudence et accompagnement) ce qui peut nous convenir, et de ne pas gober toute promesse de minceur éclair. Une perte de poids durable, c’est un équilibre alimentaire, une activité physique régulière, une dimension émotionnelle gérée — et si un complément apporte un soutien, tant mieux, mais il n’en est pas la cause unique.
Alors, quelle est la conclusion ? Restez sceptique, mais gardez l’esprit ouvert. N’attendez pas de miracles d’une bouteille, mais ne rejetez pas non plus les bénéfices potentiels. Et, par pitié, lisez au-delà des gros titres. Votre corps est une machine biochimique complexe, pas une simple équation mathématique.
Souvenez-vous, dans la grande expérience qu’est la gestion de la santé et du poids, vous n’êtes pas seulement le sujet – vous êtes le chef d’orchestre. Traitez votre corps comme un laboratoire, expérimentez de manière responsable et, toujours, toujours, questionnez à la fois les promesses et les sceptiques. La science n’est pas une vérité absolue ; c’est une quête perpétuelle de découverte et d’ajustement.
Cours terminé. Maintenant, allez manger un légume ou quelque chose.
Produit miracle ! Je suis une habituée des compléments alimentaires et prends souvent de la griffonia, associée au magnésium dans les périodes de vie plus stressantes ou intenses. Cette année, j'ai changé, j'ai tenté le safran de The Main Ingrédient Company et je ne regrette absolument pas. C'est un produit incroyable qui m'a permis de me sentir plus sereine, d'avoir un sommeil récupérateur, d'être toujours positive et plus gaie, bref de me sentir beaucoup mieux !
Je le recommanderai dès la rentrée prochaine sans hésiter une seconde !
Je vous remercie infiniment pour ce produit exceptionnel que je prends depuis plus d'un mois. Une demi-cuillère à café (environ 3 ml tous les soirs dilué dans un petit verre d'eau) me permets de passer des nuits de sommeil digne de ce nom. C'est merveilleux ! Je rêve profondément et même si j'ai 1 ou 2 réveils nocturnes de temps en temps, je me rendors vite. J'ai remarqué que je me lève plus tôt qu'avant (au moins 1 heure avant), signe que j'ai forcément dû passé une nuit récupératrice. Vraiment, c'est un miracle pour moi. De plus, je suis tellement plus calme et posée dans la journée, les soucis de la vie semblent glissés sur moi ! Vraiment MERCI !!
Après 1 semaine de prise de Safran Oméga en sublingual le soir avant le coucher, la promesse est tenue. Je me sens tellement mieux, plus serein avec un meilleur sommeil et donc plus en forme le lendemain au lever. De plus, selon certaines études, le safran agit aussi comme antifongique en cas de candidose oro-intestinale. La mélisse permet d’apaiser la sphère digestive dont l’estomac. Je recommande ce produit à 100%. Merci à TMIC de proposer un produit aussi qualitatif, je le reprendrai à coup sûr.
Superbe spiruline. 2.0 ! J'en prends depuis bientôt un mois et mon système immunitaire est au top malgré l'épidemie de grippe cet hiver. Je recommande fortement à toute personne soucieuse de sa santé.
Regain d'énergie conséquent.
Mon endurance s'en est amélioré.
Je suis aussi plus concentré dans mes tâches quotidiennes.
Un produit à avoir et consommer da façon quotidien. 🙂
Je ne suis sans doute pas objectif , mais même en tant que contributeur à la création de ce produit.. les effets que nous obtenons continuent à me surprendre à travers nos utilisateurs. Si l'on prête la plupart des effets les plus importants de la Spiruline à la phycocyanine qu'elle contient, le pari de lui associer une phycocyanine préalablement libérée nous a amenés plus loin que nous ne l'aurions jamais imaginé et les résultats excèdent tout simplement la somme de deux éléments.
Franchement d’habitude je desteste le goût de la spiruline et ne peux jamais la prendre en poudre ou liquide … mais là elle est nickel je le vois sans faire de grimaces ! je sens vraiment la différence quand à mon énergie et ma santé .
Je le recommande les yeux fermé et en reprendrai à coup sûr .
Le flacon est assez gros et le produit a une couleur verte profonde magnifique.
Excellent produit qui n’a pas d´equivalent sur le marché ! Les effet dynamisants de la spiruline enrichie en phyco libre sont évidents et clairement ressentis dès le 1er mois de cure, une valeur sure, la qualité et l’ethique sont au rendez-vous 👌🏽
Animatrice sportive de cours collectifs,(18h/semaine) cette phyco me permet de récupérer rapidement et d’être toujours en forme. Je suis fan !!
En plus mon sommeil est bien meilleur.
J’en prenais déjà depuis plusieurs années, mais rien à voir avec celle-ci ! Pour moi c’est de la bombe !
Merci pour cette top qualité. ( j’ai 60 ans)
Produit utilisé pour ma jument une Irish cob de 11ans ayant une grave fourbure. La phycocyanine a agit comme puisant anti inflammatoire et a été d’une grande aide pour elle. J’ai commencé a voir les bénéfices en 3-4 jours. Aujourd’hui elle n’en a plus besoin.
Produits de très grande qualité. Cela fait 2 ans que je commande de la phycocyanine ainsi que de la curcumine pour mes chevaux et je n’ai jamais été aussi satisfaite des résultats!!
De plus , vendeuse très à l’écoute et fait tout pour satisfaire son client. Je recommande les yeux fermés .
Merci à vous , ne changez rien.
Morgane .
J'ai découvert phycocyanine x35 grâce à un médecin micronutritionniste qui m'a vanté la qualité des produits de the main ingredient company. Je prends ce traitement afin d'améliorer mon état de santé, étant atteinte d'une encéphalomyélite myalgique (fatigue intense avec difficulté de récupération : mes batteries se déchargent plus vite qu'elles ne se chargent).
La phycocyanine est une véritable aide pour maintenir mon niveau d'énergie, ma vitalité, mon immunité sans retomber dans le cycle infernal des malaises post-efforts.
J'utilise les produits de TMIC depuis 5 ans dans le cadre de ma pratique sportive en course à pied & trail. La Phycocyanine X35 et la Curcumine sont devenues de précieuses alliées lors de cycles de préparation intenses : la Phyco me permet d'encaisser de grosses charges d'entraînement tout en favorisant ma récupération, la Curcumine m'aide à minimiser le process inflammatoire lorsque des petites douleurs surviennent/reviennent. Bref, aujourd'hui, ces produits m'aident à performer dans la durée… je ne peux plus m'en passer ! Merci d'exister TMIC 🙂
J'ai fait une cure de 90 jours de Phycocyanine X35 et ce produit remplace largement la vitamine C, le magnésium et autres compléments que j'avais l'habitude de prendre. J'ai gagné très vite en vitalité, en énergie, en performances sportives et je n'ai pas été malade de l'hiver . De plus, mes douleurs d'arthrose au poignet ont pratiquement totalement diminué pendant mon traitement alors que je ne prenais pas ce produit pour ça. C'est facile à prendre chaque matin, on peut transporter la bouteille partout.
Ce produit est surprenant et je n'ai plus envie de m'en passer.
J'ai à peu près tout essayé pour augmenter mon taux d'hémoglobine, sans résultat. Une cure d'un mois et demie de phycocycanine 35 en synergie avec la curcumine a suffi pour augmenter très significativement mon taux d'hémoglobine, alors même que ma ferritine restait assez basse. Je suis bluffée par ces résultats. Par ailleurs, j'ai l'impression que ma souplesse s'améliore. Je ne peux que recommander ce produit.
Produit de qualité remarquable.
Conditionnement et utilisation simples et pratiques.
Quant aux effets induits directs, utilisé par deux personnes dans le même foyer, tous les paramètres de santé, sommeil, humeur, capacités cardiovasculaires…sont améliorés.
Les effets indirects pour leur part parlent d’eux-mêmes lorsque les résultats sont aussi probants.
En dépit d’un tarif qui pourrait paraître élevé, les avantages cumulés montrent finalement qu’il n’en est rien.
Poursuivez dans cette état d’esprit et cette démarche.
J'ai acheté de la phycocyanine pour des douleurs musculaires dues à une pratique sportive en piscine. J'ai testé en 1er la phycocyanine *12 - 3 flacons à raison d'une cuillère à café par jour les résultats ont été à la hauteur mais pas rapidement et se sont poursuivis quelques mois sans douleur
Je teste depuis quelques jours la phycocyanine *35 à raison d'une petite cuillère à café par jour les résultats sont déjà là : en plus des douleurs musculaires, cela m'apporte une aide sur le stress, le sommeil, le dynamisme
très contente des produits
je recommande autour de moi et notamment aux sportifs car beaucoup de personnes connaissent la spiruline mais pas la phycocyanine
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Loin de disqualifier les compléments alimentaires, cette affirmation nous invite à replacer les allégations dans leur contexte, à savoir des allégations de santé non médicamenteuses. Chaque ingrédient est évalué ou en cours d’évaluation (on hold) par l’EFSA. Il est donc important de se baser sur ces référentiels pour un usage loyal et conforme à la réglementation.
Focus sur certains compléments : entre espoirs et réalités
La Spiruline et la Phycocyanine : des super-aliments sous la loupe
Face à la prolifération de produits miracles, il est essentiel d’adopter une perspective scientifique. Certains actifs d’origine naturelle, comme ceux utilisés par the main ingredient company (extraits de spiruline, curcumine, safran), ont fait l’objet d’études. Toutefois, on doit distinguer les effets spécifiquement reconnus pour la spiruline dans la liste on hold (ID EFSA) des hypothèses en cours de validation.
Prenons l’exemple de la spiruline. Certaines études évoquent qu’une supplémentation quotidienne d’environ 1 g à 4 g pendant plusieurs semaines peut contribuer à la gestion du poids en aidant à réduire l’appétit et en contribuant à la vitalité générale (EFSA ID 2737). Cela reste un soutien potentiel, et non une promesse de “fonte des kilos” toute seule. Pour approfondir la question, vous pouvez consulter notre page sur Comment prendre la spiruline pour maigrir.
Quant à la phycocyanine, elle est un pigment présent dans la spiruline, objet de nombreuses études exploratoires. Toutefois, la phycocyanine elle-même n’a pas d’allégation autorisée. L’EFSA, via l’ID 1858, évoque la spiruline dans la gestion du sentiment de faim. Les chercheurs suggèrent que c’est notamment l’un de ses pigments, la phycocyanine, qui serait impliqué. Comme le rappelle le Dr. Jeff Katula, professeur associé en sciences de la santé et de l’exercice à l’Université Wake Forest : « …plutôt que de voir chaque journée comme un échec ou une réussite absolue, il est préférable de considérer chaque décision individuelle comme une nouvelle opportunité d’agir en faveur de sa santé. Par exemple, le fait de manquer une séance de sport ne doit pas être une excuse pour ignorer son alimentation. Bien au contraire, c’est justement à ce moment-là que chaque choix alimentaire compte encore plus ».
Voir notre page dédiée à l’équilibre masculin et les compléments alimentaires
La Curcumine : l’or épicé sur la voie d’une meilleure biodisponibilité
La curcumine, principal composé actif du curcuma, est traditionnellement réputée pour ses propriétés antioxydantes et son potentiel anti-inflammatoire (EFSA ID 2598 – en cours d’évaluation). Des études se sont penchées sur un rôle potentiel de la curcumine dans l’équilibre métabolique. Toutefois, la biodisponibilité de la curcumine est naturellement faible, d’où l’intérêt de formulations améliorées comme celles proposées par the main ingredient company pour optimiser son assimilation.
Le Dr Rhonda Patrick, biochimiste, rappelle : “Bien que prometteuse pour l’équilibre cellulaire et articulaire, la curcumine demande plus de recherches pour confirmer tout impact direct sur la perte de poids”. C’est donc un supplément à utiliser en soutien global, et non comme produit unique à visée minceur.
Le Safran : un possible allié contre les fringales émotionnelles
Le safran bénéficie d’allégations en cours de validation, notamment pour son soutien à l’équilibre émotionnel (EFSA ID 2038). Des travaux de recherche suggèrent qu’il pourrait aider à limiter le grignotage dû au stress ou à l’humeur, en modulant la sérotonine. Cependant, il s’agit d’un axe d’exploration. Toute démarche de perte de poids impliquant une gestion émotionnelle nécessite un accompagnement complet (activités de gestion du stress, suivi psychologique si besoin, etc.). Pour mieux comprendre ces dimensions, n’hésitez pas à lire notre page dédiée à la gestion du stress et au bien-être émotionnel.
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Action Clé : Selon les allégations spiruline on hold (ID 1858), elle peut contribuer à la régulation de l’appétit (aide à réduire le sentiment de faim). Plusieurs études (Zeinalian et al., 2017, etc.) explorent cet effet. Néanmoins, la perte de poids finale dépendra surtout du mode de vie, de l’apport calorique total et de l’exercice physique.
Bohórquez-Medina et al., 2021, Zeinalian et al., 2017, DiNicolantonio et al., 2020, Zarezadeh et al., 2021, Mohammad et al., 2022
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Que dit réellement la science ?
Dans le domaine des compléments alimentaires pour la perte de poids, les effets des produits naturels sont souvent exagérés par le marketing. Cela ne veut pas dire que tout est infondé : la spiruline, par exemple, peut aider à moduler la sensation de faim (ID 1858, en cours d’évaluation). Plusieurs études (Zeinalian 2017, Yousefi 2018, etc.) montrent une influence sur l’appétit et certains paramètres métaboliques.
Néanmoins, il s’agit avant tout d’un soutien dans un cadre global : adaptation des apports caloriques, activité physique et suivi diététique. Ainsi, on ne peut pas conclure à une perte de poids directe causée par la spiruline seule. C’est un outil complémentaire, comme la curcumine ou le safran, qui se combinent à un mode de vie sain.
Le Dr Scott Hagan, professeur adjoint de médecine à l’Université de Washington, rappelle : « L’utilisation de termes scientifiques dans le marketing peut donner une illusion d’efficacité absolue. Il est crucial de distinguer les preuves solides des hypothèses encore non vérifiées. »
« Ozempic », médicaments et perte de poids : quelles différences avec des approches naturelles ?
Ces dernières années, de nombreuses personnes s’intéressent à l’Ozempic, un médicament (agoniste du GLP-1) initialement destiné aux diabétiques, mais parfois détourné à des fins d’amaigrissement. Cet usage n’est pas sans risque, avec des effets secondaires potentiels (nausées, pancréatite, etc.). De plus, l’injection d’agonistes du GLP-1 n’est pas anodine : en venant “mimer” une hormone, on peut altérer des équilibres physiologiques. En aucun cas, un complément alimentaire ne saurait prétendre reproduire ou concurrencer l’action spécifique d’un médicament comme l’Ozempic.
Pour autant, on sait que le GLP-1 peut aussi être soutenu par des stratégies plus naturelles : un régime riche en fibres, l’exercice physique, le maintien d’une flore intestinale saine, etc. L’objectif n’est pas de “faire aussi bien” qu’un médicament, mais d’agir sur d’autres leviers (alimentation, santé digestive, micronutrition) pour favoriser un équilibre métabolique, sans effet “médicamenteux”.
Une vigilance indispensable
La mise en avant de l’Ozempic a popularisé l’idée qu’on pourrait “bloquer” la faim ou réduire drastiquement l’appétit. Mais sans suivi médical, on risque un déséquilibre plus grave, notamment si l’organisme est soumis à des carences. Les compléments alimentaires, quant à eux, n’ont pas pour fonction de bloquer les voies métaboliques : ils peuvent contribuer à un meilleur confort digestif, une plus grande vitalité, voire une aide indirecte à la gestion de l’appétit selon la plante ou l’actif visé (ex.: spiruline et faim, ID 1858). Les principes ne sont donc pas comparables à ceux d’un traitement médicamenteux, ce qui évite certains effets secondaires lourds, mais implique de conserver des attentes réalistes.
Pourquoi peut-on manquer de GLP-1 naturellement ?
La production insuffisante de GLP-1 peut être attribuée à divers facteurs, notamment :
Stimuler naturellement la production de GLP-1
il est possible de stimuler naturellement la production endogène de GLP-1 essentiellement par le recours à un mode de vie sain
(mise à jour 2024.10) Peter Attia : sur les médicaments mimant le GLP-1, effets prolongés et risques
Dans une récente session “AMA” (Ask Me Anything) diffusée le 7 octobre 2024, le Dr Peter Attia a détaillé son point de vue sur les agonistes du GLP-1 (exemple : Ozempic). Il souligne une efficacité réelle sur la perte de poids, mais rappelle que ces médicaments peuvent provoquer, à terme, une fonte musculaire et d’autres modifications corporelles. Peter Attia insiste sur la nécessité de maintenir un programme d’exercices et un suivi médical. Il encourage également les approches holistiques : hygiène de vie, compléments en soutien, ou encore gestion du stress. En d’autres termes, ni un complément ni un médicament ne doit être employé comme “solution unique”.
Des facteurs variés à prendre en compte
Une personne peut manquer de GLP-1 pour des raisons liées à son alimentation, son microbiote ou encore des comorbidités métaboliques. Dans de tels cas, privilégier un régime riche en fibres, équilibré, avec une activité sportive régulière et des ingrédients à potentiel immunomodulateur (par exemple, spiruline, probiotiques, etc.) contribue à un meilleur fonctionnement global de l’organisme. Contrairement aux traitements exogènes comme l’Ozempic, une approche naturelle va chercher à soutenir les mécanismes endogènes, avec moins de risques d’effets secondaires. Toutefois, il faut garder à l’esprit qu’on ne peut pas espérer des résultats aussi spectaculaires qu’un médicament.
L’importance d’une approche holistique
La perte de poids est un processus complexe : hygiène de vie, bilan hormonal, équilibre alimentaire, gestion du stress et du sommeil… Les compléments alimentaires peuvent être des alliés pour soutenir l’organisme, mais sans jamais se substituer à une alimentation équilibrée ou à l’exercice. Le Dr Mike Israetel, expert en sciences de l’exercice, souligne : « Un déficit calorique modéré, un apport protéique adéquat, et un entraînement adéquat constituent la base. Les compléments aident en appoint, mais ne remplacent pas ces fondamentaux. »
Le rôle du renforcement musculaire
Construire ou préserver la masse musculaire est essentiel pour favoriser un métabolisme actif. Andrew Huberman, neuroscientifique à Stanford, rappelle que la prise de muscle a un impact hormonal bénéfique (meilleure sensibilité à l’insuline, etc.). Dans une démarche de perte ou de maintien de poids, on gagne à conjuguer activité physique (renforcement) et équilibre alimentaire, éventuellement soutenu par des compléments (spiruline pour l’apport protéique, curcumine pour le confort articulaire…). Retrouvez des pistes plus détaillées dans notre article sur les compléments alimentaires dans le sport.
Les pièges à éviter
Face à la diversité de produits sur le marché, quelques écueils reviennent souvent :
Le Dr Melanie Jay, directrice d’un programme sur l’obésité à NYU Langone, met en garde : « Il est dangereux de croire qu’un complément peut se substituer à un médicament ou à une stratégie de santé adaptée ; un suivi reste indispensable. »
the main ingredient company : une volonté de responsabilité
Consciente de ces enjeux, the main ingredient company adopte une approche transparente et scientifique. Ses produits (spiruline, curcumine, safran, etc.) sont travaillés avec une exigence de traçabilité. Aucun de ces compléments n’est présenté comme un “brûleur de graisse” ou un “médicament pour maigrir”, mais comme un soutien possible dans une démarche globale.
Il s’agit d’apporter des formules concentrées et stables (ex.: phycocyanine X35, curcumine en microémulsion), pour mieux répondre aux besoins de chacun. La prudence et la responsabilité sont mises en avant : sur chaque fiche produit, vous trouverez la mention “complément alimentaire”, la liste des ingrédients, la posologie recommandée, et un rappel qu’un complément ne remplace pas un traitement médical ni une alimentation équilibrée.
Vers une consommation éclairée et responsable
En somme, les compléments alimentaires peuvent s’avérer utiles pour soutenir un équilibre global, à condition de :
Comme le résume le Dr Peter Attia : “Les changements durables passent par une stratégie holistique. Les compléments peuvent contribuer, mais ne sont qu’un rouage dans la machine de la santé.”
Retenez que les compléments alimentaires prennent tout leur sens lorsque vous les associez à un mode de vie plus sain.
Références :
Réflexions Finales
par Professeur Debunk
Alors, nous voilà au cœur des “compléments alimentaires pour maigrir”. On entend parfois des discours tranchés : “Ça ne marche pas du tout !” ou à l’inverse “C’est révolutionnaire !”. La réalité se situe souvent entre les deux.
Commençons par éviter la caricature : un complément alimentaire n’est pas une baguette magique. Mais dire que rien n’a d’intérêt serait tout aussi réducteur. Les études sur la spiruline, le safran ou la curcumine sont là pour piquer notre curiosité scientifique. Tout n’est pas validé, certaines choses le sont partiellement, d’autres sont en cours d’évaluation. C’est normal : la recherche avance par étapes.
Ensuite, il y a le piège de confondre “indice de confiance” et “effet garantie”. Si vous prenez une formule concentrée de spiruline et que vous changez simultanément votre style de vie (plus de sport, moins de sucre), comment savoir qui fait quoi ? La réponse est : c’est souvent l’ensemble qui fonctionne en synergie, sans qu’on puisse isoler un effet unique. Et c’est d’ailleurs ce que nous rappelle la réglementation : un complément n’est pas un médicament !
Enfin, restons humbles. Les promesses ultra-marketing manquent rarement de sel. Dans la pratique, l’essentiel est de comprendre son propre corps, d’essayer (avec prudence et accompagnement) ce qui peut nous convenir, et de ne pas gober toute promesse de minceur éclair. Une perte de poids durable, c’est un équilibre alimentaire, une activité physique régulière, une dimension émotionnelle gérée — et si un complément apporte un soutien, tant mieux, mais il n’en est pas la cause unique.
Alors, quelle est la conclusion ? Restez sceptique, mais gardez l’esprit ouvert. N’attendez pas de miracles d’une bouteille, mais ne rejetez pas non plus les bénéfices potentiels. Et, par pitié, lisez au-delà des gros titres. Votre corps est une machine biochimique complexe, pas une simple équation mathématique.
Souvenez-vous, dans la grande expérience qu’est la gestion de la santé et du poids, vous n’êtes pas seulement le sujet – vous êtes le chef d’orchestre. Traitez votre corps comme un laboratoire, expérimentez de manière responsable et, toujours, toujours, questionnez à la fois les promesses et les sceptiques. La science n’est pas une vérité absolue ; c’est une quête perpétuelle de découverte et d’ajustement.
Cours terminé. Maintenant, allez manger un légume ou quelque chose.
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