Phycocyanine et sommeil : distinguer les faits de la fiction
La phycocyanine, pigment bleu caractéristique de la spiruline, suscite un intérêt grandissant pour ses vertus supposées sur la santé. De récentes parutions et articles lui prêtent notamment des effets bénéfiques sur le sommeil, s’appuyant selon les circonstances sur des mécanismes physiologiques bien compris, mais parfois sur des spéculations hautement questionnables. Comme vous allez le voir, il est dommage de se risquer à échaffauder des théories fumeuses alors que le bâti expérimental est aujourd’hui suffisant pour comprendre comment les effets attestés de la phycocyanine peuvent raisonnablement rejaillir sur notre sommeil. Alors, entre contes à l’eau de Rose et prémisses scientifiques crédibles, nous avons examiné de façon critique les données disponibles sur ce sujet.
Des promesses à « dormir debout »
Ces propriétés spectrales et sa capacité à absorber spécifiquement la lumière bleue ont conduit à spéculer sur d’éventuelles interactions avec l’horloge biologique humaine. Certains affirment que sa structure en hexamères agirait comme un capteur de lumière, ce qui conduirait à une stimulation de la mélatonine, hormone clé du sommeil.
Cependant, après examen objectif des données disponibles, il apparaît que ces affirmations ne sont pas étayées par des preuves scientifiques solides, et pour le dire plus crûment, on se moque un chouia du monde. Plusieurs arguments viennent contredire ce mécanisme supposé :
• La perception de la lumière chez l’humain implique des photorécepteurs spécialisés au niveau de la rétine. Il n’a jamais été démontré que l’ingestion d’un pigment pouvait interagir avec ces mécanismes rétiniens. • La régulation de la mélatonine met en jeu des interactions complexes entre la rétine et l’horloge biologique située dans des noyaux spécifiques de l’hypothalamus. Rien n’indique que la phycocyanine puisse moduler ces mécanismes au niveau central. • De manière générale, aucune étude clinique chez l’humain n’a à ce jour évalué ou démontré un effet spécifique de la phycocyanine sur des marqueurs objectifs de la qualité ou de la quantité de sommeil, que ce soit chez des personnes saines ou des patients souffrant de troubles du sommeil. En revanche et comme on va le voir, les résultats empiriques que vous obtenez et que vous nous rapportez trouvent à s’expliquer par des mécanismes de mieux en mieux compris.
Il est donc exagéré, voire trompeur, de présenter la phycocyanine comme une substance capable de réguler le sommeil ou la production de mélatonine chez l’humain. Ses propriétés absorbantes vis-à-vis de la lumière bleue, aussi intéressantes soient-elles, ne peuvent pas être directement extrapolées à la physiologie humaine en l’état actuel des connaissances.
Alors ? la messe est-elle dite pour la phycocyanine ? Non, certainement pas ! Elle n’en est pas moins une molécule aux remarquables vertus antioxydantes et anti-inflammatoires dont les effets neuroprotecteurs ressortent progressivement dans la littérature scientifique. Des effets indirects bénéfiques se dessinent sur le sommeil via une amélioration de la santé cérébrale et la réduction de facteurs de stress physiologiques. Poursuivons donc notre route !
Diminuer le Stress pour accéder au sommeil ?
Outre le foie et les reins, le cortisol est un autre paramètre physiologique étroitement lié à la qualité du sommeil. En tant qu’hormone de stress, des taux élevés de cortisol sont associés à l’insomnie et aux troubles du rythme circadien. Certains travaux suggèrent que la spiruline, et potentiellement sa phycocyanine, pourraient moduler les niveaux de cette hormone.
Une récente étude clinique a notamment testé les effets combinés de spiruline et d’exercice aérobie sur le taux de cortisol plasmatique chez des femmes diabétiques de type 2 Les chercheurs ont effectivement observé une diminution significative du cortisol dans les groupes supplémentés en spiruline, que ce soit en association avec l’entraînement physique ou en tant que traitement seul . Ces résultats encourageants demandent néanmoins à être nuancés en l’absence d’un groupe phycocyanine isolée. Impossible dès lors de déterminer la part réellement attribuable à celle-ci, de même de que de généraliser à des individus sains non diabétiques. Enfin, le mécanisme supposé de modulation de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien n’a pas été exploré.
Malgré ces limites, cette étude fournit un premier niveau de preuve en faveur d’un effet bénéfique de la spiruline sur la régulation du cortisol, effet potentiellement médié par la phycocyanine. Si de futurs travaux venaient confirmer cet impact chez des volontaires sains, avec une relation dose-réponse caractérisée, l’intérêt serait double. D’une part pour ses effets intrinsèques sur la réduction du stress physiologique, et d’autre part pour ses répercussions positives escomptées sur l’endormissement et le sommeil récupérateur. Affaire à suivre donc…
la phycocyanine : un outil de choix dans l’alchimie du sommeil
Alors que les actions supposées de la phycocyanine sur la production de mélatonine sont controversées, il existe des arguments plus cohérents en faveur d’une contribution indirecte à la qualité du sommeil via ses effets protecteurs au niveau du foie et des reins.
De nombreuses études ont démontré le potentiel hépatoprotecteur de la spiruline et de la phycocyanine face à plusieurs substances toxiques. Par exemple, la phycocyanine limite les dommages causés par le cisplatine en réduisant le stress oxydatif dans les hépatocytes [1]. Le cisplatine étant un agent fréquemment impliqué dans la chimiothérapie du cancer, cette protection est d’un intérêt majeur, suggérant un rôle adjuvant possible de la phycocyanine. D’autre part, des effets positifs ont été observés sur des modèles murins de stéatohépatite non-alcoolique, avec une diminution de l’accumulation de lipides dans le foie [2]. Bien que nécessitant confirmation chez l’humain, ces résultats témoignent du potentiel hépatoprotecteur global de la phycocyanine.
Or, la fonction hépatique joue un rôle central dans les processus de détoxification et de régulation hormonale. En facilitant l’élimination des xénobiotiques et en maintenant l’homéostasie métabolique, un foie en bonne santé contribue à réduire le stress physiologique, ce qui peut se répercuter positivement sur le sommeil. Par ailleurs, le foie intervient dans la synthèse de sérotonine et de mélatonine, deux hormones étroitement liées à la régulation des cycles veille-sommeil. L’hépatoprotection assurée par la phycocyanine pourrait donc indirectement impacter la qualité du sommeil.
Des résultats similaires ont été obtenus concernant la fonction rénale. Dans des modèles animaux, la phycocyanine réduit les dommages causés au rein par le mercure [3], le cisplatine [4], le cyclophosphamide ou encore la gentamicine. La néphroprotection est attribuée aux propriétés antioxydantes de la phycocyanine, qui réduisent le stress oxydatif induit par les toxines dans les tissus rénaux. Or, des reins sains garantissent non seulement l’élimination des déchets azotés mais également l’homéostasie hydrominérale et acido-basique. En améliorant la fonction rénale, la phycocyanine pourrait donc contribuer à maintenir un équilibre physiologique global propice à un sommeil réparateur. De plus, la régulation fine des électrolytes et de la volémie par les reins aide à prévenir l’hypertension et l’œdème, deux facteurs délétères pour le sommeil.
Alors oui, par delà les contes de fées répandus un peu trop volontiers sur le web, il est bien possible que la phycocyanine s’impose progressivement comme un instrument solide du mieux dormir mais des recherches complémentaires restent nécessaires. Les arguments sont crédibles en faveur d’une contribution indirecte de la phycocyanine à une meilleure qualité du sommeil, via son action protectrice vis-à-vis du foie et des reins. En réduisant la toxicité globale de l’organisme et en restaurant l’homéostasie, la phycocyanine pourrait créer un terrain biologique propice au sommeil récupérateur.
Troubles du Sommeil, des solutions réalistes aux effets prouvés
Dans Spiruline ω, la phycocyanine de « the main ingredient company » est associée aux autres composants de la spiruline tels que les polysaccharides, les acides aminés essentiels, les vitamines et l’ensemble du complexe nutritionnel de cette micro-algue réputée. Cette association synergique, vise au maintien d’une santé globale propice à un sommeil de qualité, en prévenant notamment certaines carences. L’apport d’acides aminés soufrés et la correction des dysfonctions métaboliques sont deux exemples de cette contribution indirecte.
Concernant le sommeil et l’humeur plus spécifiquement, il est difficile de ne pas mentionnerSafran ω, notre formule liquide à base d’extrait de safran co-développé sur base liquide avec le laboratoire de référence Activ’Inside, dont les propriétés sur la réduction de l’anxiété, l’amélioration de l’humeur et de la qualité de sommeil ont été scientifiquement validées par nombre d’études cliniques chez l’humain, qui plus est, reconnus et habilitées par l’EFSA et la FDA (aux Etats-Unis). Les études ont montré un effet significatif sur 80% des utilisateurs et près de 50% de solutionnement des troubles graves du sommeil.
Au final, nous ne pouvons que constater le manque de preuves solides concernant un effet direct de la phycocyanine sur la régulation du cycle veille-sommeil. Ses avantages indirects demeurent cependant réels et nos produits, considérés globalement, apportent des bénéfices multiples pour le bien-être, dont un sommeil de qualité fait partie intégrante. Affirmer que la phycocyanine agit seule comme une molécule régulatrice du sommeil relève pour l’instant du domaine de la spéculation. Des recherches plus poussées sont nécessaires pour confirmer ou infirmer cette hypothèse.
*La phycocyanine de par la diversité de ses modalités d’action a rapidement été étudiée dans le cadre de la prévention de dysfonctionnements neurologiques, la stimulation des astrocytes, et la reconfiguration du milieu cérébral.”
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Phycocyanine et sommeil
Phycocyanine et sommeil : distinguer les faits de la fiction
La phycocyanine, pigment bleu caractéristique de la spiruline, suscite un intérêt grandissant pour ses vertus supposées sur la santé. De récentes parutions et articles lui prêtent notamment des effets bénéfiques sur le sommeil, s’appuyant selon les circonstances sur des mécanismes physiologiques bien compris, mais parfois sur des spéculations hautement questionnables. Comme vous allez le voir, il est dommage de se risquer à échaffauder des théories fumeuses alors que le bâti expérimental est aujourd’hui suffisant pour comprendre comment les effets attestés de la phycocyanine peuvent raisonnablement rejaillir sur notre sommeil. Alors, entre contes à l’eau de Rose et prémisses scientifiques crédibles, nous avons examiné de façon critique les données disponibles sur ce sujet.
Des promesses à « dormir debout »
Ces propriétés spectrales et sa capacité à absorber spécifiquement la lumière bleue ont conduit à spéculer sur d’éventuelles interactions avec l’horloge biologique humaine. Certains affirment que sa structure en hexamères agirait comme un capteur de lumière, ce qui conduirait à une stimulation de la mélatonine, hormone clé du sommeil.
Cependant, après examen objectif des données disponibles, il apparaît que ces affirmations ne sont pas étayées par des preuves scientifiques solides, et pour le dire plus crûment, on se moque un chouia du monde. Plusieurs arguments viennent contredire ce mécanisme supposé :
• La perception de la lumière chez l’humain implique des photorécepteurs spécialisés au niveau de la rétine. Il n’a jamais été démontré que l’ingestion d’un pigment pouvait interagir avec ces mécanismes rétiniens.
• La régulation de la mélatonine met en jeu des interactions complexes entre la rétine et l’horloge biologique située dans des noyaux spécifiques de l’hypothalamus. Rien n’indique que la phycocyanine puisse moduler ces mécanismes au niveau central.
• De manière générale, aucune étude clinique chez l’humain n’a à ce jour évalué ou démontré un effet spécifique de la phycocyanine sur des marqueurs objectifs de la qualité ou de la quantité de sommeil, que ce soit chez des personnes saines ou des patients souffrant de troubles du sommeil. En revanche et comme on va le voir, les résultats empiriques que vous obtenez et que vous nous rapportez trouvent à s’expliquer par des mécanismes de mieux en mieux compris.
Il est donc exagéré, voire trompeur, de présenter la phycocyanine comme une substance capable de réguler le sommeil ou la production de mélatonine chez l’humain. Ses propriétés absorbantes vis-à-vis de la lumière bleue, aussi intéressantes soient-elles, ne peuvent pas être directement extrapolées à la physiologie humaine en l’état actuel des connaissances.
Alors ? la messe est-elle dite pour la phycocyanine ? Non, certainement pas ! Elle n’en est pas moins une molécule aux remarquables vertus antioxydantes et anti-inflammatoires dont les effets neuroprotecteurs ressortent progressivement dans la littérature scientifique. Des effets indirects bénéfiques se dessinent sur le sommeil via une amélioration de la santé cérébrale et la réduction de facteurs de stress physiologiques. Poursuivons donc notre route !
Diminuer le Stress pour accéder au sommeil ?
Outre le foie et les reins, le cortisol est un autre paramètre physiologique étroitement lié à la qualité du sommeil. En tant qu’hormone de stress, des taux élevés de cortisol sont associés à l’insomnie et aux troubles du rythme circadien. Certains travaux suggèrent que la spiruline, et potentiellement sa phycocyanine, pourraient moduler les niveaux de cette hormone.
Une récente étude clinique a notamment testé les effets combinés de spiruline et d’exercice aérobie sur le taux de cortisol plasmatique chez des femmes diabétiques de type 2 Les chercheurs ont effectivement observé une diminution significative du cortisol dans les groupes supplémentés en spiruline, que ce soit en association avec l’entraînement physique ou en tant que traitement seul .
Ces résultats encourageants demandent néanmoins à être nuancés en l’absence d’un groupe phycocyanine isolée. Impossible dès lors de déterminer la part réellement attribuable à celle-ci, de même de que de généraliser à des individus sains non diabétiques. Enfin, le mécanisme supposé de modulation de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien n’a pas été exploré.
Malgré ces limites, cette étude fournit un premier niveau de preuve en faveur d’un effet bénéfique de la spiruline sur la régulation du cortisol, effet potentiellement médié par la phycocyanine. Si de futurs travaux venaient confirmer cet impact chez des volontaires sains, avec une relation dose-réponse caractérisée, l’intérêt serait double. D’une part pour ses effets intrinsèques sur la réduction du stress physiologique, et d’autre part pour ses répercussions positives escomptées sur l’endormissement et le sommeil récupérateur. Affaire à suivre donc…
la phycocyanine : un outil de choix dans l’alchimie du sommeil
Alors que les actions supposées de la phycocyanine sur la production de mélatonine sont controversées, il existe des arguments plus cohérents en faveur d’une contribution indirecte à la qualité du sommeil via ses effets protecteurs au niveau du foie et des reins.
De nombreuses études ont démontré le potentiel hépatoprotecteur de la spiruline et de la phycocyanine face à plusieurs substances toxiques. Par exemple, la phycocyanine limite les dommages causés par le cisplatine en réduisant le stress oxydatif dans les hépatocytes [1]. Le cisplatine étant un agent fréquemment impliqué dans la chimiothérapie du cancer, cette protection est d’un intérêt majeur, suggérant un rôle adjuvant possible de la phycocyanine. D’autre part, des effets positifs ont été observés sur des modèles murins de stéatohépatite non-alcoolique, avec une diminution de l’accumulation de lipides dans le foie [2]. Bien que nécessitant confirmation chez l’humain, ces résultats témoignent du potentiel hépatoprotecteur global de la phycocyanine.
Or, la fonction hépatique joue un rôle central dans les processus de détoxification et de régulation hormonale. En facilitant l’élimination des xénobiotiques et en maintenant l’homéostasie métabolique, un foie en bonne santé contribue à réduire le stress physiologique, ce qui peut se répercuter positivement sur le sommeil. Par ailleurs, le foie intervient dans la synthèse de sérotonine et de mélatonine, deux hormones étroitement liées à la régulation des cycles veille-sommeil. L’hépatoprotection assurée par la phycocyanine pourrait donc indirectement impacter la qualité du sommeil.
Des résultats similaires ont été obtenus concernant la fonction rénale. Dans des modèles animaux, la phycocyanine réduit les dommages causés au rein par le mercure [3], le cisplatine [4], le cyclophosphamide ou encore la gentamicine. La néphroprotection est attribuée aux propriétés antioxydantes de la phycocyanine, qui réduisent le stress oxydatif induit par les toxines dans les tissus rénaux.
Or, des reins sains garantissent non seulement l’élimination des déchets azotés mais également l’homéostasie hydrominérale et acido-basique. En améliorant la fonction rénale, la phycocyanine pourrait donc contribuer à maintenir un équilibre physiologique global propice à un sommeil réparateur. De plus, la régulation fine des électrolytes et de la volémie par les reins aide à prévenir l’hypertension et l’œdème, deux facteurs délétères pour le sommeil.
Alors oui, par delà les contes de fées répandus un peu trop volontiers sur le web, il est bien possible que la phycocyanine s’impose progressivement comme un instrument solide du mieux dormir mais des recherches complémentaires restent nécessaires. Les arguments sont crédibles en faveur d’une contribution indirecte de la phycocyanine à une meilleure qualité du sommeil, via son action protectrice vis-à-vis du foie et des reins. En réduisant la toxicité globale de l’organisme et en restaurant l’homéostasie, la phycocyanine pourrait créer un terrain biologique propice au sommeil récupérateur.
Troubles du Sommeil, des solutions réalistes aux effets prouvés
Dans Spiruline ω, la phycocyanine de « the main ingredient company » est associée aux autres composants de la spiruline tels que les polysaccharides, les acides aminés essentiels, les vitamines et l’ensemble du complexe nutritionnel de cette micro-algue réputée. Cette association synergique, vise au maintien d’une santé globale propice à un sommeil de qualité, en prévenant notamment certaines carences. L’apport d’acides aminés soufrés et la correction des dysfonctions métaboliques sont deux exemples de cette contribution indirecte.
Concernant le sommeil et l’humeur plus spécifiquement, il est difficile de ne pas mentionner Safran ω, notre formule liquide à base d’extrait de safran co-développé sur base liquide avec le laboratoire de référence Activ’Inside, dont les propriétés sur la réduction de l’anxiété, l’amélioration de l’humeur et de la qualité de sommeil ont été scientifiquement validées par nombre d’études cliniques chez l’humain, qui plus est, reconnus et habilitées par l’EFSA et la FDA (aux Etats-Unis). Les études ont montré un effet significatif sur 80% des utilisateurs et près de 50% de solutionnement des troubles graves du sommeil.
Au final, nous ne pouvons que constater le manque de preuves solides concernant un effet direct de la phycocyanine sur la régulation du cycle veille-sommeil. Ses avantages indirects demeurent cependant réels et nos produits, considérés globalement, apportent des bénéfices multiples pour le bien-être, dont un sommeil de qualité fait partie intégrante. Affirmer que la phycocyanine agit seule comme une molécule régulatrice du sommeil relève pour l’instant du domaine de la spéculation. Des recherches plus poussées sont nécessaires pour confirmer ou infirmer cette hypothèse.
SPIRULINE ω – Cure de 30 jours
*La phycocyanine de par la diversité de ses modalités d’action a rapidement été étudiée dans le cadre de la prévention de dysfonctionnements neurologiques, la stimulation des astrocytes, et la reconfiguration du milieu cérébral.”
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CURCUMINE ω – Cure de 30 jours
PHYCOCYANINE ω X12 – Cure de 30 jours
PHYCOCYANINE ω X35 – Cure de 3 mois
SAFRAN ω – 90 jours