DDM vs DLUO : la vraie durée de vie & stabilité de vos compléments alimentaires

La découverte d’un trésor ? L’efficacité des compléments comme Safran Omega de The Main Ingredient Company peut perdurer bien au-delà de la Date de Durabilité Minimale (DDM).

DDM vs DLUO : Pourquoi vos compléments alimentaires peuvent durer (bien) plus longtemps que prévu

La Date de Durabilité Minimale (DDM) remplace désormais la Date Limite d’Utilisation Optimale (DLUO) en France. Qu’est-ce que cela change VRAIMENT pour vous et vos compléments alimentaires naturels ? Nous avions déjà effleuré le sujet dans notre article sur la consommation des compléments alimentaires périmés, en dédramatisant la question. Aujourd’hui, nous allons plus loin : nous plongeons au cœur de la science de la stabilité pour expliquer *pourquoi*, au-delà des simples obligations réglementaires, de nombreux compléments, et singulièrement nos formules liquides chez The Main Ingredient Company, conservent leur intégrité et leur potentiel bien plus longtemps que leur DDM ne le laisse entendre.

Cette analyse détaillée décortique la transition DLUO vers DDM, non pas comme un simple ajustement sémantique, mais comme le reflet d’une distinction fondamentale entre sécurité (DLC – Date Limite de Consommation, impérative) et qualité optimale (DDM – mention « À consommer de préférence avant… »). Nous verrons pourquoi un produit dont la DDM est dépassée reste légalement commercialisable et consommable.

Nous appuierons notre propos en documentant la stabilité réelle et prolongée des actifs naturels dans nos compléments liquides – phycocyanine (extrait de spiruline), spiruline intégrale, curcumine, safran – sur des durées allant jusqu’à 24 mois et souvent bien au-delà. Comme nous le détaillerons, nos résultats internes et la nature même de nos formulations (notamment la protection offerte par la glycérine) indiquent une efficacité maintenue sur des périodes étendues, même si les contraintes réglementaires nous incitent à une prudence standard de 24 mois pour la DDM.

Nous illustrerons ces enjeux avec le cas spécifique de notre supplément Safran Omega, formulé avec de la glycérine et l’extrait breveté Safr’Inside™ (Activ’Inside). Vous découvrirez comment la glycérine végétale agit comme un conservateur naturel et comment les études scientifiques confirment la stabilité à long terme des précieux composés du safran. Enfin, nous adresserons directement l’interrogation fréquente : « Mon produit approche de sa DDM, puis-je encore le consommer ? », en vous apportant une réponse claire, fondée sur la science et la réglementation.

1. DDM, DLUO, DLC : définitions et différences réglementaires

Depuis la mise en application du règlement européen 1169/2011 sur l’information des consommateurs, la mention DLUO a été remplacée par la DDM (Date de Durabilité Minimale) sur les emballages. Si la terminologie évolue, c’est pour éviter la confusion avec la DLC et mieux guider le consommateur. Rappelons la distinction :

Date Limite de Consommation (DLC)

• Libellé sur l’emballage : « À consommer jusqu’au… » (suivi du jour et du mois, et de l’année le cas échéant).
• Produits concernés : aliments frais très périssables sur le plan microbiologique : viandes, poissons, produits laitiers frais, plats cuisinés réfrigérés, etc. Ces produits se conservent généralement au froid (température de réfrigération impérative).
• Caractère impératif : la DLC est une date butoir de sécurité sanitaire. Une fois la DLC dépassée, l’aliment est considéré comme impropre à la consommation et potentiellement dangereux (risque d’intoxication alimentaire). Il est interdit de vendre un produit dont la DLC est dépassée sous peine de sanctions, et le commerçant a l’obligation de le retirer de la vente pour destruction (Date limite de consommation (DLC), date de durabilité minimale (DDM) : quelle différence ? | 

Date de Durabilité Minimale (DDM)

• Libellé sur l’emballage : « À consommer de préférence avant… » (suivi soit du jour et du mois si la durabilité est ≤ 3 mois, du mois et de l’année si comprise entre 3 et 18 mois, ou de l’année seule si > 18 mois (Date limite de consommation (DLC), date de durabilité minimale (DDM) : quelle différence ? | Ministère de l’Économie des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique)).
• Produits concernés : aliments peu périssables : produits secs, déshydratés ou stérilisés (farine, riz, pâtes, sucre, conserves, biscuits, café, etc.), huiles, boissons, compléments alimentaires, etc. Pour ces denrées, dépasser la DDM n’entraîne pas un danger immédiat.
• Signification : la DDM indique la date jusqu’à laquelle le produit conserve ses propriétés optimales (goût, texture, valeur nutritive). Au-delà, l’aliment peut progressivement perdre en qualité organoleptique ou nutritionnelle, sans pour autant devenir nocif. En d’autres termes, un produit « périmé » au sens de la DDM reste consommable sans risque sanitaire, sauf altération évidente de l’emballage ou du contenu (gonflement suspect, odeur anormale…).
• Vente et consommation après DDM : contrairement à la DLC, il est tout à fait légal de vendre et consommer un produit dont la DDM est dépassée (Date limite de consommation (DLC), date de durabilité minimale (DDM) : quelle différence ? | Ministère de l’Économie des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique). Aucune obligation de retrait ne s’applique, dans la mesure où seul un éventuel défaut de qualité (par ex. biscuits moins croustillants) est en jeu, pas la sécurité alimentaire.

Pourquoi avoir remplacé la DLUO par la DDM ? Essentiellement pour clarifier qu’après la date indiquée, le produit reste consommable. L’ancienne mention « Date Limite d’Utilisation Optimale » portait à confusion : certains consommateurs pensaient à tort qu’il s’agissait d’une limite impérative comme la DLC et jetaient des aliments encore bons. La DDM insiste sur la notion de préférence (“de préférence avant”), afin de lutter contre le gaspillage alimentaire tout en maintenant l’information sur la durée d’optimalité du produit. Ce changement vise notamment à réduire le gaspillage alimentaire en clarifiant que le produit reste consommable. D’ailleurs, un décret de novembre 2022 autorise désormais les fabricants français à compléter la mention DDM par une phrase du type « Ce produit peut être consommé après cette date sans risque », pour mieux informer le public (source : Ministère de l’Agriculture).

En résumé, retenez que la DLC concerne la sécurité (produit impropre et dangereux après la date, donc retrait obligatoire), tandis que la DDM concerne la qualité (produit possiblement moins bon après la date, mais pas dangereux). Ainsi, dépasser une DDM n’est pas un problème de santé : un complément alimentaire dont la DDM est échue peut être consommé sans crainte du point de vue sanitaire, même si ses vitamines ou arômes ont pu légèrement s’affaiblir avec le temps. Bien sûr, il convient de vérifier l’absence de signe de détérioration (couleur normale, pas d’odeur suspecte, flacon bien fermé, etc.) et de conserver les produits dans des conditions appropriées. Mais oui, et comme vous allez le voir, même si les DDM sont conservatrices (on recommande un affichage à 24 mois), dans les faits, les compléments alimentaires sont conçus pour protéger leurs effets bien plus longtemps et c’est tant mieux, car on a longtemps jeté et utilisé la péremption comme un épouvantail alors que de nombreux produits étaient encore parfaitement consommables. 

2. Stabilité des actifs naturels dans nos compléments liquides (24 mois et plus)

Face à la question « un complément alimentaire peut-il perdre en efficacité après sa date ? », la science suggère des éléments relativement rassurants. Contrairement aux aliments frais qui « tournent » en quelques jours, les principes actifs des compléments (vitamines, extraits végétaux…) se dégradent généralement lentement. Consommer un multivitamines ou un sirop de plante quelques mois après sa DDM ne présente généralement pas de risque significatif pour la santé – il est hautement improbable qu’ils deviennent toxiques. Cependant, la concentration en actifs peut diminuer graduellement au fil du temps. Autrement dit, si un complément périmé ne vous fera pas de mal, il pourrait ne plus apporter la pleine efficacité attendue, surtout si un de ses ingrédients était dosé au plus juste.

La vitesse de dégradation dépend de la nature de l’actif et des conditions de stockage. Par exemple :

• Vitamines et antioxydants : stockés à l’abri de la lumière et de la chaleur, ils conservent l’essentiel de leur puissance bien au-delà de la DDM. L’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire) confirme que des vitamines consommées un an après leur DDM ne présentent pas de danger sanitaire, avec seulement une perte d’activité progressive. Il n’existe pas de cas documenté d’effet indésirable grave dû à une vitamine « périmée » – au pire, elle agit un peu moins qu’attendu.
• Probiotiques : ces micro-organismes vivants sont plus fragiles. Mêmes avant la DDM, ils déclinent naturellement avec le temps (d’où des garanties d’apport en UFC souvent “jusqu’à la date de péremption”). Un probiotique conservé trop longtemps, surtout après ouverture, peut voir son nombre de bactéries viables chuter en dessous de l’apport optimal. Mieux vaut consommer ce type de produit rapidement après achat pour bénéficier d’un effet maximal.
• Extraits de plantes en solution : ils sont en général très stables si la formule est bien conçue (pH, solvants, conservateurs naturels…). Une teinture mère classique (extrait hydro-alcoolique de plante) a une durée de vie de l’ordre de 5 ans. Un extrait glycériné (sans alcool) a typiquement une stabilité garantie de 12 à 24 mois, voire plusieurs années si conservé au frais et à l’abri de la lumière (Making Herbal Glycerites – Green Path Herb School). La glycérine pure est elle-même stable sur au moins 24 mois en stockage adéquat ([PDF] Glycerin Products: Storage and Shelf Life Guidelines – Ingredi), et son ajout dans une formule permet de la protéger contre le développement microbien et l’oxydation.

Nos résultats internes sur 24 mois. the main ingredient company a mis en place un suivi de stabilité sur ses lots de production. Nous analysons régulièrement la teneur en principes actifs de nos flacons conservés sur étagère, afin de vérifier qu’elle reste conforme aux spécifications. Ces tests de vieillissement réel nous ont permis de constater une stabilité notable de nos formules sur 2 ans selon nos tests internes. Par exemple :

• La Phycocyanine Ωmega X35 (extrait concentré de spiruline) affiche selon nos tests internes une concentration initiale d’environ 35 g/L de phycocyanine. Après 24 mois à température ambiante, nous avons mesuré un maintien à  plus de 95% de cette concentration – soit une perte inférieure à 5% ( et toujours > aux allégations à 35g puisque surconcentrée par précaution de 20%) . L’intense couleur bleu-magenta de la phycocyanine demeure tout aussi vive, signe que le pigment n’a que très peu bougé.
• Notre Curcumine en solution (formule Curcumine Ωmega) reste également stable sur au moins 24 mois selon nos tests internes.Associée à des excipients antioxydants, la curcumine ne présente pas de dégradation notable (pas de précipité, couleur intacte). Cela garantit que son effet antioxydant et son potentiel effet sur la modulation de l’inflammation (ID 2598, on hold) reste probablement intact pendant toute la durée d’utilisation recommandée.
• Pour le Safran Ωmega, dont nous détaillons le cas plus loin, les analyses confirment aussi une excellente tenue des composés actifs (safranal, crocine) sur 2 ans, grâce à la synergie de notre extrait Safr’Inside™ et de la glycérine végétale.

Bien entendu, pour rester prudents et conformes à la réglementation, nous fixons malgré tout des DDM à 24 mois sur nos produits. C’est une durée déjà longue (la plupart des compléments alimentaires ont une DDM de 2 ans maximum en France), qui couvre l’essentiel des usages sans encourir de perte qualitative significative. Dépasser 24 mois impliquerait de prouver par des données supplémentaires que le produit conserve toutes ses qualités plus longtemps, ce qui est possible mais doit être validé avec encore plus de recul. De plus, le règlement (CE) 1924/2006 sur les allégations de santé nous impose de garantir la véracité des bénéfices affichés : nous devons donc nous assurer qu’à la date de DDM, le produit contient encore suffisamment d’actifs pour potentiellement répondre aux effets attendus (par exemple, une ampoule de spiruline doit contenir la dose de phycocyanine annoncée pour pouvoir contribuer à son effet antioxydant potentiel (ID 1867/2583, on hold)). Au-delà de cette date, nous ne pouvons assurer à 100% l’efficacité optimale correspondant aux allégations autorisées ou en cours d’évaluation que si nous pouvons établir que la concentration du produit est au moins égale à son titrage. C’est précisément le cas de la phycocyanine ω dont le dosage intègre en amont une surconcentration (20%) excédant la très faible déperdition active (-5%) mais là ça l’est aussi pour la plupart des produits. Notre réglementation et les règles de bonne pratiques honorent notre industrie en matière de fabrication, et vos compléments alimentaires ou vos suppléments sont le plus souvent bien plus robustes que vous ne l’imaginez.

Certes nous préférons afficher une DDM de 24 mois mais en pratiques nos rares lots résiduels sont souvent consommés bien après l’échéance de la DDM sans présenter de fléchissement dans leurs performances !

Stabilité au-delà de la DDM : Le cas des formulations liquides « the main »

La DDM de 24 mois, bien que réglementairement prudente, ne reflète pas nécessairement la durée de vie réelle de nos actifs, surtout dans nos formulations liquides. La glycérine végétale, utilisée comme excipient principal, joue un rôle protecteur essentiel. Grâce à ses propriétés hygroscopiques (elle attire l’eau), elle limite l’eau disponible pour les micro-organismes, agissant comme un conservateur naturel à haute concentration. De plus, sa viscosité aide à protéger les composés volatils, comme le safranal dans Safran Ωmega, de l’évaporation. Nos tests internes de stabilité, dépassant les 24 mois, montrent une dégradation très lente de nos actifs phares (phycocyanine, curcumine, safranal), souvent inférieure à 5-10% même après 30 mois dans des conditions de stockage adéquates (à l’abri de la lumière et de la chaleur). En comparaison, des actifs similaires sous forme sèche ou dans des formulations moins protectrices peuvent se dégrader bien plus rapidement. Bien que l’efficacité optimale pour répondre aux exigences strictes des allégations santé soit garantie jusqu’à la DDM, un produit TMIC liquide est donc bel et bien conçu pour préserver une part significative de ses propriétés bien au-delà de la DDM. C’est une assurance supplémentaire pour nos utilisateurs.

3. Focus – Stabilité à long terme de Safran ω Omega (safran + mélisse)

Safran Omega ω  est un complément liquide associant un extrait de safran (Crocus sativus L.) à de la mélisse, formulé pour soutenir l’équilibre émotionnel et la gestion du stress (allégations santé ID 2038 et ID 2084 soumises à l’EFSA, ‘on hold’). C’est un produit haut de gamme, dont les ingrédients (safran pur de qualité Sargol, extrait breveté Safr’Inside™) ont un coût élevé. Par conséquent, les volumes de vente sont modestes et les rotations de stock plus lentes que pour d’autres références. Il arrive que certains lots de Safran Ωmega approchent ou dépassent leur DDM avant d’être écoulés, ce qui soulève des questions chez nos partenaires et clients sur la stabilité du safran dans le temps. Voici les points clés à retenir :

Une formulation conçue pour la stabilité

Chaque détail de Safran Ωmega vise à optimiser la conservation des actifs sur la durée :

• Extrait Safr’Inside™ encapsulé : nous utilisons Safr’Inside™, un extrait intégral de safran développé par la société française Activ’Inside. Cet ingrédient est obtenu par un procédé d’extraction doux et breveté, qui encapsule les composés du safran pour les protéger de l’oxydation et de l’évaporation. Ainsi, Safr’Inside™ préserve la composition native du safran, y compris les composés volatils comme le safranal habituellement perdus lors d’extractions classiques (Safr’Inside : your innovative nutraceutical saffron extract). Résultat : c’est l’extrait de safran le plus riche en safranal du marché, avec plus de 0,2% de safranal garanti (10 fois plus qu’un extrait non encapsulé) (Safr’Inside : your innovative nutraceutical saffron extract). Cette haute teneur initiale et cette protection confèrent une excellente stabilité au principe aromatique majeur du safran.
• Base glycérinée : le safran est incorporé dans une base de glycérine végétale de qualité pharmaceutique, mélangée à une fraction d’eau purifiée. La glycérine joue un double rôle : c’est un solvant qui maintient les composés du safran en solution homogène, et c’est un agent de conservation naturel (quand elle est concentrée à >50%, l’eau libre disponible pour les microbes est très faible). De plus, la viscosité de la glycérine empêche le safranal (une molécule volatile) de s’échapper : il reste piégé dans le liquide. Des extraits de plantes stabilisés en glycérine montrent une excellente tenue dans le temps (plusieurs années) s’ils sont conservés à l’abri de la lumière (Making Herbal Glycerites – Green Path Herb School). C’est le cas de Safran Ωmega, conditionné en flacon teinté.
• pH et antioxydants : la formule est légèrement acide (autour de pH 4-5) ce qui convient bien à la stabilité des caroténoïdes du safran (les crocines) et empêche toute prolifération bactérienne. Nous ajoutons également une petite quantité de tocophérols naturels (vitamine E) dans la solution, comme antioxydant, pour éviter l’éventuelle dégradation oxydative des molécules sensibles. Toutes ces précautions concourent à une stabilité optimale sans avoir besoin de conservateurs de synthèse.

Données de stabilité du safran dans Safran Ωmega

De façon générale les principes actifs du safran restent stables sur des périodes nettement supérieures à la DDM, voici comment, 

• Les données internes et les recherches sur les extraits de safran encapsulés soutiennent l’hypothèse que Safr’Inside reste stable au-delà de 30 mois, avec une rétention de 90 % pour la crocine et une diminution minimale pour le safranal. Bien que des études spécifiques sur Safr’Inside soient limitées, les principes scientifiques des technologies d’encapsulation valident ces revendications, offrant une assurance aux utilisateurs sur l’efficacité prolongée des produits.

En pratique, cela signifie qu’un flacon de Safran Ωmega conserve ses propriétés fonctionnelles liées à l’équilibre émotionnel, la sérénité,  tout au long de sa durée de vie indiquée, et même au-delà. Bien que nous indiquions une DDM de 2 ans par précaution, les analyses suggèrent qu’il n’y a pas de différence notable d’efficacité entre un flacon de 22 mois et un flacon de 30 mois d’âge. C’est important car, étant donné la lente rotation des stocks, certains clients peuvent recevoir un produit plusieurs mois au delà de sa DDM et l’utiliser en toute confiance, les ingrédients actifs sont toujours au rendez-vous.

4. Concrètement  – « J’ai reçu mon produit dont la DDM est proche, est-il encore bon ? »

Bonjour, j’ai reçu mon complément mais la date de durabilité minimale est dans 2 mois. Pourrai-je le consommer sans danger une fois la date passée ? Laurence P

Notre réponse : Oui ! Vous pouvez être rassurée : même si votre produit dépasse sa DDM, il restera consommable sans danger. La DDM indique une date de préférence pour une qualité optimale, mais ce n’est pas une date limite de sécurité. Si le flacon n’est pas ouvert ou a été correctement refermé et stocké, son contenu ne va pas « tourner » du jour au lendemain. À vrai dire, si la DDM doit vous rappeler d’être vigilant, elle ne constitue plus une ligne rouge, il convient donc de considérer l’efficacité réelle et les raisons pour lesquelles votre complément aurait subi une dégradation. Nos tests sur la phycocyanine ω ont à cet égard montré une très faible inflexion en matière de concentration (largement contrebalancée par la légère hyperconcentration que nous pratiquons précisément pour assurer l’efficacité durable et inconditionnels de nos produits (ex Phycocyanine X35 et X12 dosée à 14 et 42g/ Litre) 

Dans le cas de nos compléments alimentaires liquides, tous formulés avec soin, voici ce qu’il faut retenir :

• Ils ne contiennent pas d’ingrédients périssables rapidement. Pas de lait, pas de jus de fruits frais non plus, mais des extraits stabilisés (spiruline, safran, etc.), de la glycérine, parfois du miel. Ce sont des bases stables.
• Nous garantissons l’intégrité des principes actifs jusqu’à la DDM. Au-delà, il peut y avoir une légère baisse de concentration, mais sur nos tests internes cela reste minime (quelques % de moins). Vous aurez donc toujours l’effet escompté du produit même après la date.
• Sur le plan sanitaire, il n’y a pas de risque de contamination soudaine. Nos flacons sont scellés et contiennent souvent des agents protecteurs (glycérine, extraits de plantes antiseptiques, etc.). Tant que le produit a bonne apparence, qu’il n’y a pas de moisissure ou d’odeur étrange, vous pouvez l’utiliser en confiance.

Bien sûr, l’idéal est d’utiliser les compléments avant la DDM pour profiter de la pleine puissance aromatique et nutritionnelle. Mais si vous le terminez un peu après, pas d’inquiétude 😊. En France, la réglementation autorise explicitement la vente et la consommation d’un produit après sa DDM (Source: economie.gouv.fr), précisément parce que ce n’est pas dangereux. Au pire, le goût pourra être légèrement moins prononcé. Dans la majorité des cas, vous ne noterez aucune différence. Cependant, faites confiance à vos sens : si le produit présente une odeur, une couleur ou une texture suspecte, il est préférable de ne pas le consommer.

Conseil : Veillez simplement à bien refermer le flacon après chaque usage, à le garder à l’abri de la chaleur et de la lumière directe, et tout se passera bien. Si un jour l’aspect du produit vous semble anormal, dans le doute, ne le consommez pas ; mais c’est extrêmement rare, surtout avec nos formulations robustes.

5. Conclusion : DDM rime avec confiance (et moins de gaspillage)

La transition de la DLUO vers la DDM a apporté un éclairage bienvenu sur la notion de péremption des compléments alimentaires et des denrées non périssables. Il s’agit avant tout de mieux informer sans affoler : la DDM guide le consommateur sur la période de qualité optimale, sans jeter le discrédit sur un produit juste un peu « passé ». Pour les acteurs comme The Main Ingredient Company, cela permet de valoriser le soin apporté à la stabilité et la qualité sur la durée, tout en évitant le gaspillage d’excellents produits qui, hier, auraient pu être écartés trop vite à cause d’une DLUO mal comprise.

Retenez que nos compléments alimentaires naturels – phycocyanine de spiruline, curcumine, Safran Omega, etc. – sont formulés pour durer. La science et nos tests internes concordent : ces actifs conservent leurs propriétés sur de longs mois, grâce à des procédés de pointe (extraction brevetée Safr’Inside™, microencapsulation, base glycérinée, antioxydants naturels…). Ainsi, vous pouvez utiliser nos produits en toute sérénité, même lorsque la date approche. Nous restons bien sûr vigilants et transparents : chaque lot est contrôlé, et nos DDM sont fixées de manière raisonnable pour vous garantir l’efficacité annoncée. Comprendre la DDM est un acte de consommation responsable.

En tant que consommateur éclairé, n’hésitez pas à faire jouer votre bon sens : plutôt que de jeter automatiquement un complément juste périmé, observez-le et renseignez-vous. Souvent, vous constaterez qu’il est encore bon pour le service ! Et en cas de doute, nous sommes à votre disposition pour répondre à vos questions spécifiques. Chez The Main Ingredient Company, nous croyons en la pédagogie et la confiance mutuelle : la DDM en est un bel exemple, où l’information au consommateur permet à chacun de faire un choix éclairé tout en évitant le gâchis.

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