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Soutien Naturel du Cheval
face au Risque de PPID (Cushing)

 

Cheval atteint de PPID (Cushing) reposant paisiblement près d'un flacon de Phycocyanine Omega de The Main Ingredient Company, suggérant un meilleur bien-être.

 

Le PPID (Cushing) est une maladie neurodégénérative dont la gestion précoce est clé. Avant même le diagnostic, une approche préventive visant à maintenir l’équilibre métabolique et à limiter l’inflammation chronique est essentielle. Une fois le diagnostic posé, l’objectif est d’adopter une approche intégrative. Chez the main ingredient company, nous nous basons sur la recherche scientifique pour proposer des solutions qui pourraient aider l’organisme à répondre aux déséquilibres. La Phycocyanine ω est au cœur de cette approche, étudiée pour ses propriétés potentielles neuroprotectrices et anti-inflammatoires. L’objectif : en accord avec votre vétérinaire, soutenir le cheval le plus tôt possible pour, potentiellement, retarder ou diminuer le recours à des traitements lourds. Découvrez une approche scientifique, préventive et intégrative.

 

 

Actifs naturels, contrôles vétérinaires, made in France, qualité TMIC

 

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La Pyramide de Prévention des Déséquilibres Endocriniens

 

Inspiré par des experts de terrain, le bon sens nous dicte que la meilleure façon de gérer une maladie comme le PPID est d’agir en amont, sur les facteurs de risque. La base de la pyramide est de fournir au cheval un mode de vie qui minimise la pression sur son système endocrinien : une alimentation pauvre en sucres rapides pour éviter les pics d’insuline, une gestion rigoureuse du surpoids, un environnement à faible stress pour limiter la production chronique de cortisol, et un apport suffisant en nutriments pour que l’organisme ne soit jamais en déficit. Ces actions préventives sont le socle d’une santé durable.

 

L’avis du Professeur Debunk : Le PPID est une dégénérescence des neurones dopaminergiques de l’hypophyse. Si des facteurs génétiques existent, il est scientifiquement logique de penser que des stresseurs chroniques (stress oxydatif, inflammation, dysmétabolisme) peuvent accélérer ce processus. Agir en prévention sur ces facteurs, ce n’est pas de la magie, c’est de la biochimie. Limiter l’inflammation et le stress oxydatif, c’est réduire la charge de travail des systèmes de réparation de l’organisme, leur permettant de mieux préserver l’intégrité des tissus, y compris neuronaux. La prévention est la seule stratégie réellement intelligente.

 

Lire l’analyse scientifique complète du PPID

Cheval à l'air abattu seul dans son box, illustrant l'ennui et le stress chronique qui peuvent mener à des tics et nécessiter un soutien de fond.

Une fois le PPID diagnostiqué : L’Approche Intégrative

 

Lorsque la maladie est déclarée, le traitement vétérinaire (Pergolide) devient le standard de soin pour corriger le déficit en dopamine. Notre approche intégrative ne vise pas à le remplacer, mais à le compléter intelligemment. L’objectif est de soutenir l’organisme face aux déséquilibres induits par la maladie pour améliorer le confort global du cheval. Les observations de terrain, menées sous contrôle vétérinaire, suggèrent qu’un tel soutien, initié tôt, pourrait aider à maintenir le cheval dans un meilleur état général, et ainsi potentiellement permettre de retarder le début du traitement médicamenteux ou de maintenir des dosages plus faibles, limitant d’autant les effets secondaires et la dépendance. Cette démarche doit impérativement être co-construite avec votre vétérinaire.

 

Notre outil de personnalisation de l’accompagnement « the main » 

La Science au Cœur du Soutien : Mécanismes d’Action

 

La recherche sur le PPID a mis en lumière plusieurs mécanismes sur lesquels des actifs naturels pourraient agir. L’étude TMIC 2025.2.8 et la littérature scientifique suggèrent que la Phycocyanine, grâce à ses propriétés uniques, agirait à plusieurs niveaux :

 

1. Action neuroprotectrice : Elle aiderait à protéger les neurones dopaminergiques du stress oxydatif, un des facteurs de leur dégénérescence. En préservant ces neurones, on pourrait aider l’organisme à maintenir sa propre régulation.

2. Modulation de l’ACTH : La phycocyanine aurait montré un potentiel pour aider à réguler la production d’ACTH par l’hypophyse, agissant potentiellement sur un des dérèglements centraux de la maladie.

3. Action anti-inflammatoire puissante : Le PPID est un état pro-inflammatoire. La Curcumine ω et la Phycocyanine ω agiraient en synergie pour aider à contrôler cette inflammation systémique, protégeant ainsi l’organisme et limitant le risque de pathologies associées comme la fourbure.

Professeur Debunk examinant un cheval, illustrant l'analyse scientifique du PPID équin et le potentiel de la phycocyanine TMIC.
Action fondamentale avec Phycocyanine Omega X35

 

 

Au cœur de l’approche intégrative. La phycocyanine est étudiée pour son action neuroprotectrice potentielle et sa capacité éventuelle à aider à la régulation de l’ACTH. C’est le pilier du soutien pour aider l’organisme à maintenir son équilibre.
Action sur l’inflammation avec Curcumine Omega

 

 

La Curcumine serait le partenaire essentiel de la phycocyanine. Elle pourrait aider à contrôler les réponses inflammatoires (ID 2598, on hold), un enjeu majeur pour le confort général et la prévention du risque de fourbure.
Action sur la condition physique avec Spiruline Omega

 

 

La Spiruline est le soutien nutritionnel indispensable pour aider à lutter contre la fonte musculaire (ID 2758, on hold) et soutenir la vitalité (ID 2737, on hold), permettant au cheval de conserver un état et une énergie optimaux.

Non, absolument et catégoriquement pas. Le Pergolide est le traitement médical de référence. Notre approche est intégrative, c’est-à-dire qu’elle vise à compléter et à soutenir le protocole vétérinaire, pas à le remplacer. L’objectif est d’améliorer le bien-être global pour potentiellement permettre, sur décision du vétérinaire, d’optimiser le traitement médicamenteux.

Le plus tôt est le mieux. L’approche peut être initiée dès les premiers signes d’alerte (fonte musculaire, changement de poil…) ou dès le diagnostic confirmé, toujours en parallèle et en accord avec le suivi vétérinaire. Une action précoce permettrait d’agir sur les mécanismes d’inflammation et de stress oxydatif avant qu’ils ne causent potentiellement des dommages plus importants.

Vous pouvez lui présenter la logique intégrative : l’objectif n’est pas de contester son traitement, mais de l’appuyer en agissant sur des mécanismes complémentaires (inflammation, stress oxydatif, soutien neuronal) pour lesquels la phycocyanine et la curcumine sont scientifiquement étudiées. Vous pouvez lui mentionner que des observations de terrain, menées avec d’autres vétérinaires, ont montré un réel bénéfice sur l’état général du cheval, permettant parfois une optimisation du dosage du traitement médical. Proposez-lui de collaborer et de suivre les marqueurs sanguins ensemble.

Cushing équin : une Approche Intégrative, Précoce et Responsable

 

La gestion du PPID est un partenariat entre le propriétaire, le vétérinaire et le cheval. En agissant tôt avec une approche préventive, puis en intégrant, une fois le diagnostic posé, un soutien nutritionnel scientifique qui pourrait aider l’organisme à lutter contre les mécanismes profonds de la maladie, on met toutes les chances de son côté. La synergie Phycocyanine – Curcumine – Spiruline est au cœur de cette stratégie. Elle ne remplace jamais l’avis et le traitement vétérinaire mais vise à l’accompagner, pour offrir au cheval la meilleure qualité de vie possible, le plus longtemps possible.

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