Spiruline contre-indications et effets indésirables ?
La spiruline est une micro-algue d’eau douce aux multiples vertus nutritionnelles et santé. Riche en fer, en protéines, en vitamines et minéraux, elle est notamment utilisée pour prévenir l’anémie ou en complément alimentaire chez les végétaliens. Cependant, comme pour tout complément, des précautions sont à prendre pour certaines populations. Examinons point par point ses principales contre-indications ?
! Ces analyses ne peuvent s’apparenter à un conseil médical, aussi consultez votre médecin si vous avez le moindre doute ou une condition préalable exigeant une médication spécifique. Bonne lecture
1. Vitamine K1 et anticoagulants
On parle beaucoup, on lit beaucoup à propos des interactions et du parasitage de l’action d’anticoagulants par la vitamine K1 présente dans la spiruline. Son interaction potentielle avec les traitements antiagrégants plaquettaires viendrait précisément de son action procoagulante mais cette simplification ne correspond pas à la vérité, en effet, la vitamine K1 joue un rôle crucial dans la coagulation sanguine et une carence en cette vitamine peut conduire à des hémorragies sévères.
Concrètement, on se sert de l’INR (International Normalized Ratio), pour mesurer l’efficacité des anticoagulants oraux. Le niveau de l’INR reflète la tendance du sang à coaguler. Or il apparaît que si la vitamine K1 influe sur ce facteur (il passerait de 2 à 1,5 avec des dosages de l’ordre de 700µg par jour), la concentration en K1 dans la Spiruline ( 5 et 8 μg de vitamine K1 par g de spiruline) rapporté à la prise quotidienne recommandée (1 à 3g et 2g dans le cas de la Spiruline omega) exclue clairement la possibilité d’une interaction significative. Ce scénario que l’on retrouve très souvent dans des articles insuffisamment approfondis est donc très peu concluant.
Risque réel : FAIBLE à nulle, exception : prise de 100g de spiruline quotidienne
2. Traitements anti-hypertension.
Au départ, c’est une bonne nouvelle : de récentes études tendent à montrer que la spiruline pourrait avoir des effets antihypertenseurs. La présence du peptide SP6 contribuerait à dilater les vaisseaux sanguins, réduisant potentiellement la pression artérielle mais avec d’autres effets sur l’endothélium très intéressants. Mais la contrepartie négative consisterait dans l’interaction avec des traitements hypotenseurs.
Alors que penser ? Une fois encore et en y regardant de plus près, le principe de précaution consistant à pointer une potentielle hypotension par un cumul des effets d’un médicament et de la Spiruline paraît très exagérée et il faudrait là aussi ingérer des quantités extravagantes de Spiruline pour interagir même de façon limitée.
Risque réel : à relativiser Deux études ont montré une baisse significative de la pression artérielle (DBP et SBP) , chez des patients hypertendus3 ainsi qu’une baisse des taux de triglycérides sériques, de cholestérol total et de lipoprotéines de basse densité (LDL), et cela sans perturber l’efficacité des médicaments antihypertenseurs4 !
Comment c’est possible : Le peptide SP6 semble capable de détecter la pression artérielle et de contrôler le réflexe des barorécepteurs, ce qui est considéré comme une avancée significative dans la compréhension de la régulation de la pression artérielle. Le peptide SP6 semble principalement augmenter l’activité de l’eNOS (endothelial nitric oxide synthase) via la phosphorylation de Ser1177 par une signalisation kinase favorable, sans augmenter l’expression de la protéine eNOS.
3. Phénylcétonurie
La Spiruline contient également de la phénylalanine. Les personnes atteintes de phénylcétonurie, maladie génétique rare empêchant de métaboliser cet acide aminé, doivent ainsi éviter d’en consommer. Mais pour l’immense majorité d’entre nous, cet effet secondaire ne se présente pas ( moins d’une personne sur 17000) Risque réel : OUI
La technologie au service de la vérité : The Main Ingredient Company plonge dans l’étude approfondie de la spiruline
4. Riche en Acides nucléiques, elle favoriserait la goutte
Du fait de sa teneur en acides nucléiques, la spiruline peut faire augmenter l’acide urique. Les personnes sujettes à la goutte doivent-elles la craindre ? Risque réel : NON la quantité d’acides nucléiques présents dans la spiruline est relativement faible, surtout lorsque l’on compare à d’autres sources de purines comme les abats, certains types de poissons, et les boissons alcoolisées. Par conséquent, la consommation normale de spiruline est peu susceptible d’apporter suffisamment de purines pour déclencher une crise de goutte.
5. Fer
La spiruline étant riche en fer, il est déconseillé d’en consommer de fortes doses en cas d’hémochromatose, maladie provoquant une surcharge en fer. Pour la majorité des utilisateurs cependant, la quantité de fer qu’elle apporte demeure bénéfique, notamment pour prévenir l’anémie.
Risque réel : OUI (si vous souffrez d’hémochromatose et consommer une dose importante de Spiruline > 10g/j) il est essentiel d’aborder son utilisation avec prudence chez les personnes ayant des conditions médicales spécifiques. Pour les personnes atteintes d’hémochromatose, il serait préférable de consulter un professionnel de santé avant de prendre de la spiruline ou tout autre complément riche en fer.
6. Spiruline et Thyroïde
La spiruline, souvent mise en lumière pour ses bénéfices nutritionnels, suscite des interrogations quant à son interaction avec la fonction thyroïdienne, en particulier en raison de la crainte liée à la teneur en iode. La thyroïde, une glande endocrine essentielle, régule le métabolisme grâce à la production des hormones T3 et T4. Un dysfonctionnement tel que l’hyperthyroïdie ou l’hypothyroïdie peut affecter négativement la qualité de vie. L’iode, indispensable à la synthèse des hormones thyroïdiennes, est souvent au cœur des préoccupations. Cependant, contrairement à d’autres algues, la spiruline, qui croît en eaux douces, présente une teneur en iode quasi nulle, éliminant ainsi les risques de surdosage en iode associés à sa consommation. Par ailleurs, bien que certaines études suggèrent que la spiruline pourrait améliorer les symptômes des pathologies thyroïdiennes, aucune recherche n’a mis en lumière d’effet direct sur la thyroïde ou sur la sécrétion des hormones thyroïdiennes.
Risque réel :Non, : les craintes concernant une interaction négative entre la spiruline et la fonction thyroïdienne ne sont pas fondées. La spiruline semble sécuritaire pour la thyroïde, surtout lorsqu’elle est consommée en respectant le dosage conseillé, et pourrait même contribuer à l’amélioration des symptômes des pathologies thyroïdiennes2 . Néanmoins il convient de consulter un professionnel de la santé avant de considérer la spiruline comme complément, notamment en présence de conditions thyroïdiennes préexistantes.
Verdict :
Beaucoup de ouï-dire, d’approximations et de fantasmes entourent la Spiruline, cela dans l’exposé de ses vertus comme de ses faiblesses. Cet article, en opérant une mise à jour de certaines contre-vérités rétablit la réalité dans ses proportions. Quand elle est consommée correctement, la spiruline s’avère une alliée santé et bien-être de choix. Ses bienfaits sont multiples, aussi bien pour les sportifs, les végétaliens, les seniors ou toute personne souhaitant renforcer son capital santé. Avec sa Spiruline Oméga, The Main Ingredient Company a développé une formule unique combinant spiruline et phycocyanine libre biodisponible avec un haut degré de traçabilité, et une sécurité totale garantie par l’analyse de laboratoires indépendants. Une synergie optimale pour exploiter toutes les vertus de ce superaliment, sous une forme facile à intégrer au quotidien à découvrir dès maintenant.
*La phycocyanine de par la diversité de ses modalités d’action a rapidement été étudiée dans le cadre de la prévention de dysfonctionnements neurologiques, la stimulation des astrocytes, et la reconfiguration du milieu cérébral. »
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Spiruline contre-indications et effets indésirables
Spiruline contre-indications et effets indésirables ?
La spiruline est une micro-algue d’eau douce aux multiples vertus nutritionnelles et santé. Riche en fer, en protéines, en vitamines et minéraux, elle est notamment utilisée pour prévenir l’anémie ou en complément alimentaire chez les végétaliens. Cependant, comme pour tout complément, des précautions sont à prendre pour certaines populations. Examinons point par point ses principales contre-indications ?
! Ces analyses ne peuvent s’apparenter à un conseil médical, aussi consultez votre médecin si vous avez le moindre doute ou une condition préalable exigeant une médication spécifique. Bonne lecture
1. Vitamine K1 et anticoagulants
On parle beaucoup, on lit beaucoup à propos des interactions et du parasitage de l’action d’anticoagulants par la vitamine K1 présente dans la spiruline. Son interaction potentielle avec les traitements antiagrégants plaquettaires viendrait précisément de son action procoagulante mais cette simplification ne correspond pas à la vérité, en effet, la vitamine K1 joue un rôle crucial dans la coagulation sanguine et une carence en cette vitamine peut conduire à des hémorragies sévères.
Concrètement, on se sert de l’INR (International Normalized Ratio), pour mesurer l’efficacité des anticoagulants oraux. Le niveau de l’INR reflète la tendance du sang à coaguler. Or il apparaît que si la vitamine K1 influe sur ce facteur (il passerait de 2 à 1,5 avec des dosages de l’ordre de 700µg par jour), la concentration en K1 dans la Spiruline ( 5 et 8 μg de vitamine K1 par g de spiruline) rapporté à la prise quotidienne recommandée (1 à 3g et 2g dans le cas de la Spiruline omega) exclue clairement la possibilité d’une interaction significative. Ce scénario que l’on retrouve très souvent dans des articles insuffisamment approfondis est donc très peu concluant.
Risque réel : FAIBLE à nulle, exception : prise de 100g de spiruline quotidienne
2. Traitements anti-hypertension.
Au départ, c’est une bonne nouvelle : de récentes études tendent à montrer que la spiruline pourrait avoir des effets antihypertenseurs. La présence du peptide SP6 contribuerait à dilater les vaisseaux sanguins, réduisant potentiellement la pression artérielle mais avec d’autres effets sur l’endothélium très intéressants. Mais la contrepartie négative consisterait dans l’interaction avec des traitements hypotenseurs.
Alors que penser ? Une fois encore et en y regardant de plus près, le principe de précaution consistant à pointer une potentielle hypotension par un cumul des effets d’un médicament et de la Spiruline paraît très exagérée et il faudrait là aussi ingérer des quantités extravagantes de Spiruline pour interagir même de façon limitée.
Risque réel : à relativiser
Deux études ont montré une baisse significative de la pression artérielle (DBP et SBP) , chez des patients hypertendus3 ainsi qu’une baisse des taux de triglycérides sériques, de cholestérol total et de lipoprotéines de basse densité (LDL), et cela sans perturber l’efficacité des médicaments antihypertenseurs4 !
Comment c’est possible :
Le peptide SP6 semble capable de détecter la pression artérielle et de contrôler le réflexe des barorécepteurs, ce qui est considéré comme une avancée significative dans la compréhension de la régulation de la pression artérielle. Le peptide SP6 semble principalement augmenter l’activité de l’eNOS (endothelial nitric oxide synthase) via la phosphorylation de Ser1177 par une signalisation kinase favorable, sans augmenter l’expression de la protéine eNOS.
3. Phénylcétonurie
La Spiruline contient également de la phénylalanine. Les personnes atteintes de phénylcétonurie, maladie génétique rare empêchant de métaboliser cet acide aminé, doivent ainsi éviter d’en consommer. Mais pour l’immense majorité d’entre nous, cet effet secondaire ne se présente pas ( moins d’une personne sur 17000)
Risque réel : OUI
La technologie au service de la vérité : The Main Ingredient Company plonge dans l’étude approfondie de la spiruline
4. Riche en Acides nucléiques, elle favoriserait la goutte
Du fait de sa teneur en acides nucléiques, la spiruline peut faire augmenter l’acide urique. Les personnes sujettes à la goutte doivent-elles la craindre ?
Risque réel : NON
la quantité d’acides nucléiques présents dans la spiruline est relativement faible, surtout lorsque l’on compare à d’autres sources de purines comme les abats, certains types de poissons, et les boissons alcoolisées. Par conséquent, la consommation normale de spiruline est peu susceptible d’apporter suffisamment de purines pour déclencher une crise de goutte.
5. Fer
La spiruline étant riche en fer, il est déconseillé d’en consommer de fortes doses en cas d’hémochromatose, maladie provoquant une surcharge en fer. Pour la majorité des utilisateurs cependant, la quantité de fer qu’elle apporte demeure bénéfique, notamment pour prévenir l’anémie.
Risque réel : OUI (si vous souffrez d’hémochromatose et consommer une dose importante de Spiruline > 10g/j)
il est essentiel d’aborder son utilisation avec prudence chez les personnes ayant des conditions médicales spécifiques. Pour les personnes atteintes d’hémochromatose, il serait préférable de consulter un professionnel de santé avant de prendre de la spiruline ou tout autre complément riche en fer.
6. Spiruline et Thyroïde
La spiruline, souvent mise en lumière pour ses bénéfices nutritionnels, suscite des interrogations quant à son interaction avec la fonction thyroïdienne, en particulier en raison de la crainte liée à la teneur en iode. La thyroïde, une glande endocrine essentielle, régule le métabolisme grâce à la production des hormones T3 et T4. Un dysfonctionnement tel que l’hyperthyroïdie ou l’hypothyroïdie peut affecter négativement la qualité de vie. L’iode, indispensable à la synthèse des hormones thyroïdiennes, est souvent au cœur des préoccupations. Cependant, contrairement à d’autres algues, la spiruline, qui croît en eaux douces, présente une teneur en iode quasi nulle, éliminant ainsi les risques de surdosage en iode associés à sa consommation. Par ailleurs, bien que certaines études suggèrent que la spiruline pourrait améliorer les symptômes des pathologies thyroïdiennes, aucune recherche n’a mis en lumière d’effet direct sur la thyroïde ou sur la sécrétion des hormones thyroïdiennes.
Risque réel :Non, : les craintes concernant une interaction négative entre la spiruline et la fonction thyroïdienne ne sont pas fondées. La spiruline semble sécuritaire pour la thyroïde, surtout lorsqu’elle est consommée en respectant le dosage conseillé, et pourrait même contribuer à l’amélioration des symptômes des pathologies thyroïdiennes2 . Néanmoins il convient de consulter un professionnel de la santé avant de considérer la spiruline comme complément, notamment en présence de conditions thyroïdiennes préexistantes.
Verdict :
Beaucoup de ouï-dire, d’approximations et de fantasmes entourent la Spiruline, cela dans l’exposé de ses vertus comme de ses faiblesses. Cet article, en opérant une mise à jour de certaines contre-vérités rétablit la réalité dans ses proportions. Quand elle est consommée correctement, la spiruline s’avère une alliée santé et bien-être de choix. Ses bienfaits sont multiples, aussi bien pour les sportifs, les végétaliens, les seniors ou toute personne souhaitant renforcer son capital santé. Avec sa Spiruline Oméga, The Main Ingredient Company a développé une formule unique combinant spiruline et phycocyanine libre biodisponible avec un haut degré de traçabilité, et une sécurité totale garantie par l’analyse de laboratoires indépendants. Une synergie optimale pour exploiter toutes les vertus de ce superaliment, sous une forme facile à intégrer au quotidien à découvrir dès maintenant.
SPIRULINE ω – Cure de 30 jours
*La phycocyanine de par la diversité de ses modalités d’action a rapidement été étudiée dans le cadre de la prévention de dysfonctionnements neurologiques, la stimulation des astrocytes, et la reconfiguration du milieu cérébral. »
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CURCUMINE ω – Cure de 30 jours
PHYCOCYANINE ω X12 – Cure de 30 jours
PHYCOCYANINE ω X35 – Cure de 3 mois
SAFRAN ω – 90 jours
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