Curcumine : plus de pouvoir appelle plus de responsabilité.
Dans un avis substantié, l’ANSES sensibilise sur les effets et interactions de la Curcumine. Au delà des précautions, un rappel exhaustif des vertus de la molécule.
L’ANSES est un organisme français qui évalue les risques pour la santé liés à l’environnement, au travail et à l’alimentation.
L’organisme a reçu des rapports faisant état d’effets indésirables liés à la prise de compléments alimentaires à base de curcuma, notamment des lésions hépatiques. Elle a en réponse entamé une expertise sur les risques liés à la consommation de curcuma. Elle a souhaité rassembler les preuves scientifiques disponibles sur la plante, ses risques et bénéfices potentiels ainsi que l’exposition de la population française au curcuma par voie alimentaire avant de formuler des recommandations
L’étude évoque tout d’abord la disponibilité commerciale de la curcumine, qui est un mélange de curcumine (le composant majoritaire) et de ses deux analogues, le déméthoxy et le bisdéméthoxy. Il note ensuite que l’utilisation de curcumine synthétique n’est pas autorisée selon la définition établie par la FAO.
L’étude aborde ensuite les huiles essentielles des plantes de curcuma, qui contiennent des substances volatiles qui constituent les huiles essentielles. Ces huiles sont composées principalement de sesquiterpènes, mais des monoterpènes sont également présents (dont le 1,8-cinéole). La composition des huiles essentielles des différentes espèces de curcuma varie considérablement, ce qui peut être dû à des facteurs tels que la génétique, la variété, le climat, les pratiques de culture, etc.
L’étude aborde également le sujet de la très faible absorption de la Curcumine au niveau intestinal, de sa faible “durée de vie “ dans le système plasmatique.
Sur le sujet centrale du risque d’hépatotoxicité :
Le travail de recollection de l’ANSES repose sur l’examen de 15 cas recensés d’atteintes hépatiques possiblement causées par des compléments alimentaires contenant entre autres des curcuminoïdes (plus particulièrement de la curcumine). Sur ces 15 consommateurs (75% de femmes), 12 présentaient des pathologies préexistantes et prenaient d’autres médicaments de façon concomitante. Les doses de curcumine consommées allaient de 10mg/j à 1,2g/j (médiane 186mg/j). 7 des 15 produits concernés avaient une biodisponibilité améliorée grâce, entre autres, à l’association avec le poivre noir…
Les résultats de cette étude ne sont pas surprenants étant donné que les curcuminoïdes sont connus pour être hépatotoxiques à fortes doses (c’est-à-dire > 1g/jour) (1,2). Cependant, il est important de noter que la grande majorité des cas rapportés ici étaient légers (gravité 1 ou 2) et se sont résolus sans dommages durables au foie. En outre, il convient de noter que la plupart des consommateurs présentaient des conditions médicales préexistantes qui ont pu les prédisposer à des lésions hépatiques.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25131822
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26596704
Le raisonnement de l’ANSES
Dans le cas de condition préexistante ou d’affections du foie (l’ANSES cite notamment la maladie de Chrone), une telle amélioration de la fonction est regardée comme suspecte et la cause potentielle partielle des hépatites auxquelles le dispositif de pharmacovigilance a relié la consommation de compléments alimentaires à base de Curcumine.
Aussi l’ANSES conclut que même si les preuves sont très peu substantielles, les suppléments de curcumine doivent être utilisés avec précaution chez les personnes souffrant d’une maladie du foie.
Peut-on, doit-on conclure à la réalité des liens entre l’utilisation de la curcumine et les problèmes hépatiques ?
Une étude publiée dans le Journal of Gastroenterology and Hepatology a révélé que la curcumine peut augmenter les enzymes hépatiques chez les personnes souffrant de maladies du foie.
Elle a montré que la curcumine était capable d’augmenter la production d’enzymes telles que la glutathion-S-transférase et la quinone réductase. Ces enzymes jouent un rôle important dans la détoxification du foie en aidant à éliminer les toxines nocives.
La capacité de la Curcumine à agir sur la fonction hépatique est donc largement prouvée et établie mais ne tend pas précisément à établir des effets négatifs.
Au contraire même puisque certaines recherches tendent à montrer que la curcumine est efficace pour traiter la maladie de Crohn. Une étude publiée dans la revue Gut en 2010 a révélé que les personnes atteintes de la maladie de Crohn qui prenaient des suppléments à base de curcumine avaient un risque significativement réduit de mourir de la maladie. Une autre étude publiée dans la revue Inflammatory Bowel Diseases en 2013 a révélé que les personnes atteintes de la maladie de Crohn qui prenaient des suppléments de curcumine avaient un taux plus faible d’infection par la bactérie responsable de la maladie.
Dès lors, même si certaines conditions ou maladies prédisposent aux effets adverses de la curcumine, il est important de constater qu’elles peuvent aussi fréquemment retirer un bénéfice de son usage. Il y a donc même dans les cas les plus risqués matière à réaliser une estimation du rapport coût avantage de l’usage de cette molécule, sous supervision médicale cela va de soi.
Un Rapport de l’ANSES impartial reposant sur des données statistiques ténues :
Ce communiqué de presse de l’agence sanitaire française ANSES résumant les risques de la curcumine est précis et impartial. L’agence indique que la curcumine peut provoquer des troubles gastro-intestinaux, des problèmes hépatiques et de la fatigue, et qu’elle peut interagir avec certains médicaments. L’agence avertit que les suppléments de curcumine peuvent être toxiques à fortes doses et conseille d’être prudent lorsqu’on en prend.
La curcumine peut provoquer des troubles gastro-intestinaux, des problèmes de foie et de la fatigue, et elle peut interagir avec certains médicaments.
Oui, les consommateurs doivent être conscients des risques potentiels avant de prendre des compléments de curcumine.
Si les avantages des suppléments de curcumine l’emportent sur les risques pour la plupart des gens, certaines personnes peuvent être plus sensibles aux effets secondaires de la curcumine, aussi chacun doit-il être vigilant.
Une interprétation reposant sur la précaution.
Nous avons rencontré plusieurs erreurs qui pourraient potentiellement induire les lecteurs en erreur. Par exemple, il est indiqué que “la curcumine est indétectable dans le sérum pour des doses administrées de 500 à 8000 mg” (Lao et al. 2006), mais il n’est pas mentionné que cela n’a été observé que chez deux participants sur 24. Il est également indiqué que ” après l’administration de 3,6 g/j par voie orale, la concentration plasmatique de curcumine était de 11 ng/mL une heure après l’ingestion ” (Prasad, Tyagi et Aggarwal 2014), mais ne mentionne pas que cela n’a été observé que chez un participant sur quatre.
L’agence souligne le fait que les études sur la curcumine sont parfois financées par les sociétés qui vendent des compléments alimentaires à base de curcumine, cet argument est-il recevable ?
Ce n’est pas un argument recevable. Le fait que certaines études sur la curcumine soient financées par des sociétés qui vendent des compléments à base de curcumine ne signifie pas que toutes les études sont biaisées. Il existe de nombreuses preuves scientifiques qui soutiennent les bienfaits de la curcumine pour la santé, issues de nombreuses études indépendamment de leurs sources de financement.
Toute personne qui a déjà participé à une étude requérant le recrutement de patients sait qu’il est inimaginable de par la variété des intervenants et la multiplicité des responsabilités (Hôpitaux, Hôpitaux universitaires, Écoles de Médecine) d’imaginer la corrompre des données ou d’en influencer les résultats.
Il n’est donc ni juste, ni honnête de mentionner ce fait comme s’il était de nature à jeter une ombre sur les résultats extraits des études concernées. Cela revient à discréditer tout travail de recherche puisque les acteurs sont susceptibles d’être influencés ou pollués de multiples façons différentes. L’urgence de publier, et la pression de réaliser des parutions sur des sujets ouvrant la porte à des financements sont tout aussi problématiques.
Cela pose-t-il la question de l’existence d’un parti-pris des autorités de santé vis à vis de la complémentation alimentaire et de la phytothérapie ?
Il n’y a pas de raison claire pour laquelle une agence de santé voudrait exagérer les effets secondaires de la curcumine. Il est possible que l’agence s’inquiète de la sécurité des compléments de curcumine et veuille avertir les gens des risques potentiels. Il est également possible que l’agence ait une préconception contre les compléments alimentaires en général et qu’elle essaie de décourager les gens de les prendre. Le meilleur contre-argument serait de souligner que les effets secondaires de la curcumine sont généralement légers et temporaires, et que les bienfaits de la curcumine sont très supérieurs au risque. La curcumine est un complément sûr et efficace qui présente un large éventail d’avantages pour la santé.
CONCLUSION
L’ANSES fait un travail de recollection et d’analyse particulièrement approprié, dénué des effets de style et de sensationnalisme.. La synthèse des effets positifs de la Curcumine et le rappel des devoirs et obligations des acteurs de notre industrie sont les deux faces d’un même sujet et l’appel à la vigilance légitime.
Au final, les apports potentiels de la curcumine l’emportent sur les risques pour l’immense majorité des UTILISATEURS au regard du nombre d’études attestant son innocuité. Il convient cependant de choisir et d’identifier des compléments sûrs et efficaces qui présentent les garanties essentielles de sécurité particulièrement en matière de pesticides et de métaux lourds, et naturellement de prendre conseil auprès de Professionnels de santé lorsque vous êtes atteint d’une pathologie ou recourez à des traitements (antiagrégants plaquettaires) avec lesquels la curcumine pourrait interagir.
*La phycocyanine de par la diversité de ses modalités d’action a rapidement été étudiée dans le cadre de la prévention de dysfonctionnements neurologiques, la stimulation des astrocytes, et la reconfiguration du milieu cérébral.”
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ANSES et Curcumine : grands pouvoirs, grandes responsabilités.
1. Article
2. Video TMIC – ANSES
Curcumine : plus de pouvoir appelle plus de responsabilité.
Dans un avis substantié, l’ANSES sensibilise sur les effets et interactions de la Curcumine. Au delà des précautions, un rappel exhaustif des vertus de la molécule.
L’ANSES est un organisme français qui évalue les risques pour la santé liés à l’environnement, au travail et à l’alimentation.
L’organisme a reçu des rapports faisant état d’effets indésirables liés à la prise de compléments alimentaires à base de curcuma, notamment des lésions hépatiques. Elle a en réponse entamé une expertise sur les risques liés à la consommation de curcuma. Elle a souhaité rassembler les preuves scientifiques disponibles sur la plante, ses risques et bénéfices potentiels ainsi que l’exposition de la population française au curcuma par voie alimentaire avant de formuler des recommandations
L’étude évoque tout d’abord la disponibilité commerciale de la curcumine, qui est un mélange de curcumine (le composant majoritaire) et de ses deux analogues, le déméthoxy et le bisdéméthoxy. Il note ensuite que l’utilisation de curcumine synthétique n’est pas autorisée selon la définition établie par la FAO.
L’étude aborde ensuite les huiles essentielles des plantes de curcuma, qui contiennent des substances volatiles qui constituent les huiles essentielles. Ces huiles sont composées principalement de sesquiterpènes, mais des monoterpènes sont également présents (dont le 1,8-cinéole). La composition des huiles essentielles des différentes espèces de curcuma varie considérablement, ce qui peut être dû à des facteurs tels que la génétique, la variété, le climat, les pratiques de culture, etc.
L’étude aborde également le sujet de la très faible absorption de la Curcumine au niveau intestinal, de sa faible “durée de vie “ dans le système plasmatique.
Sur le sujet centrale du risque d’hépatotoxicité :
Le travail de recollection de l’ANSES repose sur l’examen de 15 cas recensés d’atteintes hépatiques possiblement causées par des compléments alimentaires contenant entre autres des curcuminoïdes (plus particulièrement de la curcumine). Sur ces 15 consommateurs (75% de femmes), 12 présentaient des pathologies préexistantes et prenaient d’autres médicaments de façon concomitante. Les doses de curcumine consommées allaient de 10mg/j à 1,2g/j (médiane 186mg/j). 7 des 15 produits concernés avaient une biodisponibilité améliorée grâce, entre autres, à l’association avec le poivre noir…
Les résultats de cette étude ne sont pas surprenants étant donné que les curcuminoïdes sont connus pour être hépatotoxiques à fortes doses (c’est-à-dire > 1g/jour) (1,2). Cependant, il est important de noter que la grande majorité des cas rapportés ici étaient légers (gravité 1 ou 2) et se sont résolus sans dommages durables au foie. En outre, il convient de noter que la plupart des consommateurs présentaient des conditions médicales préexistantes qui ont pu les prédisposer à des lésions hépatiques.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25131822
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26596704
Le raisonnement de l’ANSES
Dans le cas de condition préexistante ou d’affections du foie (l’ANSES cite notamment la maladie de Chrone), une telle amélioration de la fonction est regardée comme suspecte et la cause potentielle partielle des hépatites auxquelles le dispositif de pharmacovigilance a relié la consommation de compléments alimentaires à base de Curcumine.
Aussi l’ANSES conclut que même si les preuves sont très peu substantielles, les suppléments de curcumine doivent être utilisés avec précaution chez les personnes souffrant d’une maladie du foie.
Peut-on, doit-on conclure à la réalité des liens entre l’utilisation de la curcumine et les problèmes hépatiques ?
Une étude publiée dans le Journal of Gastroenterology and Hepatology a révélé que la curcumine peut augmenter les enzymes hépatiques chez les personnes souffrant de maladies du foie.
Elle a montré que la curcumine était capable d’augmenter la production d’enzymes telles que la glutathion-S-transférase et la quinone réductase. Ces enzymes jouent un rôle important dans la détoxification du foie en aidant à éliminer les toxines nocives.
La capacité de la Curcumine à agir sur la fonction hépatique est donc largement prouvée et établie mais ne tend pas précisément à établir des effets négatifs.
Au contraire même puisque certaines recherches tendent à montrer que la curcumine est efficace pour traiter la maladie de Crohn. Une étude publiée dans la revue Gut en 2010 a révélé que les personnes atteintes de la maladie de Crohn qui prenaient des suppléments à base de curcumine avaient un risque significativement réduit de mourir de la maladie. Une autre étude publiée dans la revue Inflammatory Bowel Diseases en 2013 a révélé que les personnes atteintes de la maladie de Crohn qui prenaient des suppléments de curcumine avaient un taux plus faible d’infection par la bactérie responsable de la maladie.
Dès lors, même si certaines conditions ou maladies prédisposent aux effets adverses de la curcumine, il est important de constater qu’elles peuvent aussi fréquemment retirer un bénéfice de son usage. Il y a donc même dans les cas les plus risqués matière à réaliser une estimation du rapport coût avantage de l’usage de cette molécule, sous supervision médicale cela va de soi.
Un Rapport de l’ANSES impartial reposant sur des données statistiques ténues :
Ce communiqué de presse de l’agence sanitaire française ANSES résumant les risques de la curcumine est précis et impartial. L’agence indique que la curcumine peut provoquer des troubles gastro-intestinaux, des problèmes hépatiques et de la fatigue, et qu’elle peut interagir avec certains médicaments. L’agence avertit que les suppléments de curcumine peuvent être toxiques à fortes doses et conseille d’être prudent lorsqu’on en prend.
La curcumine peut provoquer des troubles gastro-intestinaux, des problèmes de foie et de la fatigue, et elle peut interagir avec certains médicaments.
Oui, les consommateurs doivent être conscients des risques potentiels avant de prendre des compléments de curcumine.
Si les avantages des suppléments de curcumine l’emportent sur les risques pour la plupart des gens, certaines personnes peuvent être plus sensibles aux effets secondaires de la curcumine, aussi chacun doit-il être vigilant.
Une interprétation reposant sur la précaution.
Nous avons rencontré plusieurs erreurs qui pourraient potentiellement induire les lecteurs en erreur. Par exemple, il est indiqué que “la curcumine est indétectable dans le sérum pour des doses administrées de 500 à 8000 mg” (Lao et al. 2006), mais il n’est pas mentionné que cela n’a été observé que chez deux participants sur 24. Il est également indiqué que ” après l’administration de 3,6 g/j par voie orale, la concentration plasmatique de curcumine était de 11 ng/mL une heure après l’ingestion ” (Prasad, Tyagi et Aggarwal 2014), mais ne mentionne pas que cela n’a été observé que chez un participant sur quatre.
L’agence souligne le fait que les études sur la curcumine sont parfois financées par les sociétés qui vendent des compléments alimentaires à base de curcumine, cet argument est-il recevable ?
Ce n’est pas un argument recevable. Le fait que certaines études sur la curcumine soient financées par des sociétés qui vendent des compléments à base de curcumine ne signifie pas que toutes les études sont biaisées. Il existe de nombreuses preuves scientifiques qui soutiennent les bienfaits de la curcumine pour la santé, issues de nombreuses études indépendamment de leurs sources de financement.
Toute personne qui a déjà participé à une étude requérant le recrutement de patients sait qu’il est inimaginable de par la variété des intervenants et la multiplicité des responsabilités (Hôpitaux, Hôpitaux universitaires, Écoles de Médecine) d’imaginer la corrompre des données ou d’en influencer les résultats.
Il n’est donc ni juste, ni honnête de mentionner ce fait comme s’il était de nature à jeter une ombre sur les résultats extraits des études concernées. Cela revient à discréditer tout travail de recherche puisque les acteurs sont susceptibles d’être influencés ou pollués de multiples façons différentes. L’urgence de publier, et la pression de réaliser des parutions sur des sujets ouvrant la porte à des financements sont tout aussi problématiques.
Cela pose-t-il la question de l’existence d’un parti-pris des autorités de santé vis à vis de la complémentation alimentaire et de la phytothérapie ?
Il n’y a pas de raison claire pour laquelle une agence de santé voudrait exagérer les effets secondaires de la curcumine. Il est possible que l’agence s’inquiète de la sécurité des compléments de curcumine et veuille avertir les gens des risques potentiels. Il est également possible que l’agence ait une préconception contre les compléments alimentaires en général et qu’elle essaie de décourager les gens de les prendre. Le meilleur contre-argument serait de souligner que les effets secondaires de la curcumine sont généralement légers et temporaires, et que les bienfaits de la curcumine sont très supérieurs au risque. La curcumine est un complément sûr et efficace qui présente un large éventail d’avantages pour la santé.
CONCLUSION
L’ANSES fait un travail de recollection et d’analyse particulièrement approprié, dénué des effets de style et de sensationnalisme.. La synthèse des effets positifs de la Curcumine et le rappel des devoirs et obligations des acteurs de notre industrie sont les deux faces d’un même sujet et l’appel à la vigilance légitime.
Au final, les apports potentiels de la curcumine l’emportent sur les risques pour l’immense majorité des UTILISATEURS au regard du nombre d’études attestant son innocuité. Il convient cependant de choisir et d’identifier des compléments sûrs et efficaces qui présentent les garanties essentielles de sécurité particulièrement en matière de pesticides et de métaux lourds, et naturellement de prendre conseil auprès de Professionnels de santé lorsque vous êtes atteint d’une pathologie ou recourez à des traitements (antiagrégants plaquettaires) avec lesquels la curcumine pourrait interagir.
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*La phycocyanine de par la diversité de ses modalités d’action a rapidement été étudiée dans le cadre de la prévention de dysfonctionnements neurologiques, la stimulation des astrocytes, et la reconfiguration du milieu cérébral.”
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