Peut-on prendre plusieurs compléments alimentaires en même temps ?
compléments alimentaires sont des produits qui contiennent des substances destinées à compléter l’alimentation normale. Ils peuvent avoir des effets bénéfiques sur la santé, mais aussi être source de risques potentiels, notamment en cas de surdosage ou d’association. Quelle est la différence entre ces deux notions, et comment les éviter ? Cet article vous propose de faire le point sur les différents types de compléments alimentaires, leurs dosages, leurs interactions et leurs précautions d’emploi.
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1. Surdosage de Compléments Alimentaires : Précautions et Enjeux
Dans le monde des compléments alimentaires, l’importance du respect des dosages recommandés est cruciale. Tandis que la plupart des consommateurs suivent scrupuleusement les instructions, certains cas de surdosage surviennent, entraînant diverses conséquences. Le surdosage peut résulter d’une méconnaissance des recommandations posologiques ou de l’association de multiples compléments contenant des ingrédients similaires. Bien que les autorités sanitaires, telles que la DGCCRF en France, imposent des normes strictes assurant une grande marge de sécurité, il est essentiel de comprendre les risques associés au surdosage.
Cas Généraux de Surdosage
Les cas de surdosage les plus courants surviennent lorsque les utilisateurs combinent plusieurs compléments alimentaires sans prendre en compte leur composition cumulative. Des exemples notables incluent la surconsommation de vitamines liposolubles (comme les vitamines A, D, E, K) qui s’accumulent dans le corps, ou des minéraux comme le fer et le zinc. Ces surdosages peuvent conduire à des problèmes de santé variés, allant de troubles digestifs mineurs à des conséquences plus sévères comme la toxicité hépatique ou des déséquilibres minéraux.
Cas de Sûreté et Tolérances Élevées
Heureusement, la plupart des compléments alimentaires sont conçus avec des marges de sécurité élevées. En France, les régulations de la DGCCRF garantissent que les dosages recommandés sont bien inférieurs aux seuils de risque. Cela signifie que, dans de nombreux cas, un léger dépassement des doses recommandées n’entraîne pas de conséquences graves. Cela est particulièrement vrai pour les vitamines hydrosolubles et certains minéraux, où l’excès est généralement éliminé naturellement par le corps.
Découvrez comment choisir judicieusement vos compléments alimentaires pour un bien-être optimal.
Gravité du Surdosage et Précautions
Le surdosage de certains nutriments peut entraîner des conséquences préoccupantes. Prenons l’exemple de la vitamine D, souvent louée pour ses multiples bienfaits, notamment sur la santé osseuse et immunitaire. Cependant, une étude publiée dans le “Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism” a révélé que la consommation excessive de vitamine D pouvait conduire à l’hypercalcémie, un état caractérisé par un taux de calcium trop élevé dans le sang, pouvant causer des lésions rénales et cardiovasculaires.
De même, le fer, vital pour le transport de l’oxygène dans le sang, présente des risques en cas de surdosage. Une surconsommation peut mener à la surcharge en fer, ou hémochromatose, qui, selon une étude publiée dans “The Lancet”, peut endommager les organes vitaux comme le foie, le cœur et le pancréas. Ces exemples soulignent l’importance d’une consommation équilibrée et réglementée des compléments alimentaires.
Pour prévenir ces risques, nous insistons pour notre part sur l’importance d’une supplémentation responsable. Les molécules omega sont formulées pour fournir des dosages optimisés, en accord avec les recherches scientifiques les plus récentes et les normes réglementaires. Nous encourageons vivement nos utilisateurs à suivre les dosages recommandés et à consulter des professionnels de santé pour une supplémentation adaptée à leurs besoins spécifiques.
Peut-on se surdoser en molécules « ω » omega de “the main ingredient company” ?
Soyons clairs : difficilement, voire très difficilement. Notre volonté a toujours été de concentrer et de purifier des molécules naturelles, tout en garantissant une sécurité absolue, une traçabilité rigoureuse et des analyses approfondies en laboratoire, attestant l’absence (pour la seconde fois) de toute trace de toxiques, de HAP nocifs, ou de pesticides, et démontrant la pure concentration des molécules ciblées. Nous avons opté pour une approche de complémentation sélective plutôt qu’associative, permettant à chacun de cibler spécifiquement ses besoins sans consommer inutilement des molécules non essentielles à son bien-être. Ainsi, que ce soit la Phycocyanine ω, la Curcumine ω, ou notre Spiruline ω, riche en phycocyanine, chaque produit est conçu pour répondre précisément et efficacement aux besoins individuels de nos clients à travers une supplémentation sur mesure, sans superflu.
Prenons d’abord l’exemple de la phycocyanine, notre molécule de référence : elle se révèle un allié de taille dans la lutte contre le stress oxydatif, les inflammations chroniques, la fatigue et bien d’autres maux. Pourtant, il existe parfois une crainte, souvent non fondée, d’effets indésirables dus à un surdosage.
Une étude fascinante menée en 2020 a exploré la toxicité aiguë et subaiguë d’une combinaison polyherbale de curcumine, quercétine et phycocyanine chez des souris albinos suisses. Les résultats étaient rassurants : aucun effet toxique significatif n’a été observé, même à des doses allant jusqu’à 2 g/kg de poids corporel. Cette découverte souligne l’innocuité de cette combinaison, ouvrant des portes à son utilisation thérapeutique sûre.
Parallèlement, une étude de 2016 a testé l’effet d’une supplémentation quotidienne en phycocyanine à des doses de 1 g/jour ou 2 g/jour chez des volontaires sains pendant 12 semaines. Les résultats ont montré une excellente tolérance et l’absence de modifications cliniquement significatives des paramètres hématologiques, biochimiques ou urinaires.
Quant à la curcumine, ce composé jaune du curcuma, reconnue pour ses propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires, anticancéreuses, antidiabétiques et hépatoprotectrices. Une revue systématique et une méta-analyse de 2022 ont examiné son efficacité et sa sécurité dans le traitement de l’arthrite, incluant 29 essais randomisés contrôlés avec 2396 participants. Les résultats ont révélé une amélioration des symptômes et des niveaux d’inflammation chez les patients atteints d’arthrite, sans effets indésirables graves. De plus, une autre étude a confirmé la sécurité de la curcumine, même à des doses allant jusqu’à 8000 mg par jour pendant 3 mois.
Ces études illustrent la remarquable tolérance et l’efficacité de la phycocyanine et de la curcumine, démontrant que même à des doses élevées, ces composés naturels conservent un profil de sécurité rassurant.
France : la réglementation la plus contraignante et la plus protectrice du monde
Les consommateurs français bénéficient d’un environnement réglementaire particulièrement rigoureux. Les standards imposés par des organismes comme la DGCCRF assurent que les compléments alimentaires disponibles sur le marché sont non seulement efficaces mais également sûrs. Cette rigueur réglementaire réduit significativement les risques de surdosage accidentel, faisant de la France un des pays les plus sûrs en matière de consommation de compléments alimentaires.
En résumé, bien que les compléments alimentaires soient généralement sûrs et réglementés, la prudence reste de mise. Le surdosage, bien qu’ayant souvent des conséquences mineures grâce aux régulations strictes, peut parfois être grave. Les consommateurs doivent être conscients de la composition et des dosages de tous les compléments qu’ils consomment, surtout lorsqu’ils combinent plusieurs produits. La sensibilisation et l’éducation sur le sujet sont essentielles pour garantir une utilisation sûre et efficace des compléments alimentaires mais les statistiques d’incidents suggèrent néanmoins avec force de ne pas verser dans le catastrophisme : la responsabilité de la filière et l’encadrement réglementaire jouent pleinement leur rôle de filet de sécurité. La surconsommation d’une ou plusieurs molécule est une chose, l’association irraisonnée de molécules présentant des incompatibilités en est une autre.
Comprendre la valeur intrinsèque de la nature dans nos choix de supplémentation.
2. Mélanges et conséquences : de l’art d’associer les compléments alimentaires
Le concept de mélange de compléments alimentaires ouvre la porte à une gamme d’interactions potentielles, dont certaines peuvent être toxiques. Lorsque différents compléments sont combinés, leurs ingrédients actifs peuvent interagir de manière imprévue, entraînant des effets qui dépassent les actions individuelles de chaque composé. Ces interactions toxiques peuvent se manifester de diverses manières, chacune reflétant la complexité biochimique du corps humain.
Combinaisons des compléments et effets métaboliques
Outre les problèmes liés aux effets antagoniques et synergiques que l’on a vu plus haut, il arrive que les interactions entre compléments modifient le métabolisme ou l’élimination d’autres substances dans le corps. Cela peut se traduire par une augmentation des concentrations de certaines substances au-delà des niveaux sûrs, même sans surdosage. Ces interactions métaboliques sont particulièrement critiques chez les individus prenant des médicaments sur ordonnance, où les compléments alimentaires peuvent influencer la manière dont les médicaments sont décomposés et utilisés par le corps. Rappelons encore une fois que ce type d’interaction est pris en charge très en amont de la production d’un complément, particulièrement en France, ou l’étiquetage conforme et le rappel exhaustif des effets secondaires et de toutes les contre-indications, est obligatoire. On observe d’ailleurs que la réalisation de ce risque est d’une très faible proportion en Europe grâce à un encadrement sévère et redondant de multiples instances de contrôle. (EFSA, ANSES, DGCCRF, etc.)
Les scénarios dans lequel les effets de la combinaisons sont voulus
Si certaines associations peuvent être problématiques, d’autres sont intentionnellement recherchées pour leurs effets bénéfiques. Par exemple, la combinaison de curcumine et de pipérine est un cas classique où la pipérine améliore significativement l’absorption de la curcumine. Quoique nous ayons opté pour une approche différente, en évitant l’utilisation de la pipérine chez the main ingredient, cette dernière augmente bel et bien la biodisponibilité en augmentant la porosité intestinale de manière non sélective. Ce processus peut poser des risques, notamment en termes d’hypersensibilisation à d’autres substances, retournant ainsi les avantages de la pipérine contre l’utilisateur. Dans un souci de prudence, notre choix s’oriente vers une utilisation plus sûre et contrôlée des ingrédients.
Association des compléments alimentaires aux médicaments
Les interactions entre les compléments alimentaires et les médicaments peuvent avoir des conséquences néfastes sur la santé, notamment en modifiant l’efficacité, la biodisponibilité ou la toxicité des substances impliquées. Il existe plusieurs études d’origine anglo-saxonne, notamment venant du Ncbi, qui soutiennent qui rapportent des cas de toxicité liés aux interactions entre les compléments alimentaires. Par exemple :
Une revue systématique de 2017 a identifié 226 cas de toxicité hépatique associés à l’usage de compléments alimentaires contenant des extraits de plantes, des acides aminés, des vitamines ou des minéraux. 1
Une étude de 2019 a examiné les données de 275 patients admis aux urgences pour des intoxications aiguës liées aux compléments alimentaires entre 2013 et 2017 en France. Les auteurs ont observé que 43 de ces patients (15,6%) avaient des interactions possibles ou probables entre les compléments alimentaires et les médicaments. 3.
Ces résultats commandent de respecter les principes auxquels nous ne cessons de renvoyer les utilisateurs. Il convient cependant de prendre un peu de hauteur pour observer que ces études montrent surtout que si les interactions entre les compléments alimentaires et les médicaments sont une réalité clinique qui peut entraîner des complications graves, il faut en souligner l’extrême rareté. De même, il faut relever les nombreuses limites méthodologiques qui infirment les liens de causalité entre les compléments alimentaires et les événements indésirables qui surviennent parfois.
Sans vouloir nourrir une polémique sur le sujet, et s’il faut effectivement renvoyer les acteurs de cette industrie à leurs responsabilité, nous avons pu observer une tentation du corps médical et des experts en pharmacie à se laisser aller à des jugements sommaires vis à vis des compléments alimentaires, devenus suspects idéaux dans toutes les situations complexes ou incidents multifactoriels, impliquant pourtant bien plus souvent des médications agressives génératrices de nombreux effets adverses.
________
Réflexions finales:
En conclusion, les compléments alimentaires, lorsqu’ils sont utilisés judicieusement, peuvent offrir des avantages substantiels pour la santé. Toutefois, il est primordial d’aborder leur consommation avec discernement, en tenant compte des risques d’interactions toxiques. La curiosité scientifique nous a amenés à reconnaître des associations bénéfiques, comme celles de la curcumine et d’autres nutriments, mais toujours avec une attention particulière à la sécurité, en évitant des ingrédients tels que la pipérine qui peut présenter des risques d’hypersensibilisation.
Chez The Main Ingredient Company, nous privilégions une supplémentation ciblée et mesurée, en adéquation avec les standards réglementaires les plus stricts pour garantir la sécurité de nos clients. Les cas d’interactions graves restent exceptionnels, et notre engagement reste ferme : offrir des compléments alimentaires sûrs, efficaces, et formulés sur la base de recherches approfondies, pour une utilisation sereine et efficace au quotidien.
*La phycocyanine de par la diversité de ses modalités d’action a rapidement été étudiée dans le cadre de la prévention de dysfonctionnements neurologiques, la stimulation des astrocytes, et la reconfiguration du milieu cérébral.”
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Peut-on prendre plusieurs compléments alimentaires en même temps ?
Peut-on prendre plusieurs compléments alimentaires en même temps ?
compléments alimentaires sont des produits qui contiennent des substances destinées à compléter l’alimentation normale. Ils peuvent avoir des effets bénéfiques sur la santé, mais aussi être source de risques potentiels, notamment en cas de surdosage ou d’association. Quelle est la différence entre ces deux notions, et comment les éviter ? Cet article vous propose de faire le point sur les différents types de compléments alimentaires, leurs dosages, leurs interactions et leurs précautions d’emploi.
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1. Surdosage de Compléments Alimentaires : Précautions et Enjeux
Dans le monde des compléments alimentaires, l’importance du respect des dosages recommandés est cruciale. Tandis que la plupart des consommateurs suivent scrupuleusement les instructions, certains cas de surdosage surviennent, entraînant diverses conséquences. Le surdosage peut résulter d’une méconnaissance des recommandations posologiques ou de l’association de multiples compléments contenant des ingrédients similaires. Bien que les autorités sanitaires, telles que la DGCCRF en France, imposent des normes strictes assurant une grande marge de sécurité, il est essentiel de comprendre les risques associés au surdosage.
Cas Généraux de Surdosage
Les cas de surdosage les plus courants surviennent lorsque les utilisateurs combinent plusieurs compléments alimentaires sans prendre en compte leur composition cumulative. Des exemples notables incluent la surconsommation de vitamines liposolubles (comme les vitamines A, D, E, K) qui s’accumulent dans le corps, ou des minéraux comme le fer et le zinc. Ces surdosages peuvent conduire à des problèmes de santé variés, allant de troubles digestifs mineurs à des conséquences plus sévères comme la toxicité hépatique ou des déséquilibres minéraux.
Cas de Sûreté et Tolérances Élevées
Heureusement, la plupart des compléments alimentaires sont conçus avec des marges de sécurité élevées. En France, les régulations de la DGCCRF garantissent que les dosages recommandés sont bien inférieurs aux seuils de risque. Cela signifie que, dans de nombreux cas, un léger dépassement des doses recommandées n’entraîne pas de conséquences graves. Cela est particulièrement vrai pour les vitamines hydrosolubles et certains minéraux, où l’excès est généralement éliminé naturellement par le corps.
Découvrez comment choisir judicieusement vos compléments alimentaires pour un bien-être optimal.
Gravité du Surdosage et Précautions
Le surdosage de certains nutriments peut entraîner des conséquences préoccupantes. Prenons l’exemple de la vitamine D, souvent louée pour ses multiples bienfaits, notamment sur la santé osseuse et immunitaire. Cependant, une étude publiée dans le “Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism” a révélé que la consommation excessive de vitamine D pouvait conduire à l’hypercalcémie, un état caractérisé par un taux de calcium trop élevé dans le sang, pouvant causer des lésions rénales et cardiovasculaires.
De même, le fer, vital pour le transport de l’oxygène dans le sang, présente des risques en cas de surdosage. Une surconsommation peut mener à la surcharge en fer, ou hémochromatose, qui, selon une étude publiée dans “The Lancet”, peut endommager les organes vitaux comme le foie, le cœur et le pancréas. Ces exemples soulignent l’importance d’une consommation équilibrée et réglementée des compléments alimentaires.
Pour prévenir ces risques, nous insistons pour notre part sur l’importance d’une supplémentation responsable. Les molécules omega sont formulées pour fournir des dosages optimisés, en accord avec les recherches scientifiques les plus récentes et les normes réglementaires. Nous encourageons vivement nos utilisateurs à suivre les dosages recommandés et à consulter des professionnels de santé pour une supplémentation adaptée à leurs besoins spécifiques.
Peut-on se surdoser en molécules « ω » omega de “the main ingredient company” ?
Soyons clairs : difficilement, voire très difficilement. Notre volonté a toujours été de concentrer et de purifier des molécules naturelles, tout en garantissant une sécurité absolue, une traçabilité rigoureuse et des analyses approfondies en laboratoire, attestant l’absence (pour la seconde fois) de toute trace de toxiques, de HAP nocifs, ou de pesticides, et démontrant la pure concentration des molécules ciblées. Nous avons opté pour une approche de complémentation sélective plutôt qu’associative, permettant à chacun de cibler spécifiquement ses besoins sans consommer inutilement des molécules non essentielles à son bien-être. Ainsi, que ce soit la Phycocyanine ω, la Curcumine ω, ou notre Spiruline ω, riche en phycocyanine, chaque produit est conçu pour répondre précisément et efficacement aux besoins individuels de nos clients à travers une supplémentation sur mesure, sans superflu.
Prenons d’abord l’exemple de la phycocyanine, notre molécule de référence : elle se révèle un allié de taille dans la lutte contre le stress oxydatif, les inflammations chroniques, la fatigue et bien d’autres maux. Pourtant, il existe parfois une crainte, souvent non fondée, d’effets indésirables dus à un surdosage.
Une étude fascinante menée en 2020 a exploré la toxicité aiguë et subaiguë d’une combinaison polyherbale de curcumine, quercétine et phycocyanine chez des souris albinos suisses. Les résultats étaient rassurants : aucun effet toxique significatif n’a été observé, même à des doses allant jusqu’à 2 g/kg de poids corporel. Cette découverte souligne l’innocuité de cette combinaison, ouvrant des portes à son utilisation thérapeutique sûre.
Parallèlement, une étude de 2016 a testé l’effet d’une supplémentation quotidienne en phycocyanine à des doses de 1 g/jour ou 2 g/jour chez des volontaires sains pendant 12 semaines. Les résultats ont montré une excellente tolérance et l’absence de modifications cliniquement significatives des paramètres hématologiques, biochimiques ou urinaires.
Quant à la curcumine, ce composé jaune du curcuma, reconnue pour ses propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires, anticancéreuses, antidiabétiques et hépatoprotectrices. Une revue systématique et une méta-analyse de 2022 ont examiné son efficacité et sa sécurité dans le traitement de l’arthrite, incluant 29 essais randomisés contrôlés avec 2396 participants. Les résultats ont révélé une amélioration des symptômes et des niveaux d’inflammation chez les patients atteints d’arthrite, sans effets indésirables graves. De plus, une autre étude a confirmé la sécurité de la curcumine, même à des doses allant jusqu’à 8000 mg par jour pendant 3 mois.
Ces études illustrent la remarquable tolérance et l’efficacité de la phycocyanine et de la curcumine, démontrant que même à des doses élevées, ces composés naturels conservent un profil de sécurité rassurant.
France : la réglementation la plus contraignante et la plus protectrice du monde
Les consommateurs français bénéficient d’un environnement réglementaire particulièrement rigoureux. Les standards imposés par des organismes comme la DGCCRF assurent que les compléments alimentaires disponibles sur le marché sont non seulement efficaces mais également sûrs. Cette rigueur réglementaire réduit significativement les risques de surdosage accidentel, faisant de la France un des pays les plus sûrs en matière de consommation de compléments alimentaires.
En résumé, bien que les compléments alimentaires soient généralement sûrs et réglementés, la prudence reste de mise. Le surdosage, bien qu’ayant souvent des conséquences mineures grâce aux régulations strictes, peut parfois être grave. Les consommateurs doivent être conscients de la composition et des dosages de tous les compléments qu’ils consomment, surtout lorsqu’ils combinent plusieurs produits. La sensibilisation et l’éducation sur le sujet sont essentielles pour garantir une utilisation sûre et efficace des compléments alimentaires mais les statistiques d’incidents suggèrent néanmoins avec force de ne pas verser dans le catastrophisme : la responsabilité de la filière et l’encadrement réglementaire jouent pleinement leur rôle de filet de sécurité. La surconsommation d’une ou plusieurs molécule est une chose, l’association irraisonnée de molécules présentant des incompatibilités en est une autre.
Comprendre la valeur intrinsèque de la nature dans nos choix de supplémentation.
2. Mélanges et conséquences : de l’art d’associer les compléments alimentaires
Le concept de mélange de compléments alimentaires ouvre la porte à une gamme d’interactions potentielles, dont certaines peuvent être toxiques. Lorsque différents compléments sont combinés, leurs ingrédients actifs peuvent interagir de manière imprévue, entraînant des effets qui dépassent les actions individuelles de chaque composé. Ces interactions toxiques peuvent se manifester de diverses manières, chacune reflétant la complexité biochimique du corps humain.
Combinaisons des compléments et effets métaboliques
Outre les problèmes liés aux effets antagoniques et synergiques que l’on a vu plus haut, il arrive que les interactions entre compléments modifient le métabolisme ou l’élimination d’autres substances dans le corps. Cela peut se traduire par une augmentation des concentrations de certaines substances au-delà des niveaux sûrs, même sans surdosage. Ces interactions métaboliques sont particulièrement critiques chez les individus prenant des médicaments sur ordonnance, où les compléments alimentaires peuvent influencer la manière dont les médicaments sont décomposés et utilisés par le corps. Rappelons encore une fois que ce type d’interaction est pris en charge très en amont de la production d’un complément, particulièrement en France, ou l’étiquetage conforme et le rappel exhaustif des effets secondaires et de toutes les contre-indications, est obligatoire.
On observe d’ailleurs que la réalisation de ce risque est d’une très faible proportion en Europe grâce à un encadrement sévère et redondant de multiples instances de contrôle. (EFSA, ANSES, DGCCRF, etc.)
Les scénarios dans lequel les effets de la combinaisons sont voulus
Si certaines associations peuvent être problématiques, d’autres sont intentionnellement recherchées pour leurs effets bénéfiques. Par exemple, la combinaison de curcumine et de pipérine est un cas classique où la pipérine améliore significativement l’absorption de la curcumine. Quoique nous ayons opté pour une approche différente, en évitant l’utilisation de la pipérine chez the main ingredient, cette dernière augmente bel et bien la biodisponibilité en augmentant la porosité intestinale de manière non sélective. Ce processus peut poser des risques, notamment en termes d’hypersensibilisation à d’autres substances, retournant ainsi les avantages de la pipérine contre l’utilisateur. Dans un souci de prudence, notre choix s’oriente vers une utilisation plus sûre et contrôlée des ingrédients.
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Ces résultats commandent de respecter les principes auxquels nous ne cessons de renvoyer les utilisateurs. Il convient cependant de prendre un peu de hauteur pour observer que ces études montrent surtout que si les interactions entre les compléments alimentaires et les médicaments sont une réalité clinique qui peut entraîner des complications graves, il faut en souligner l’extrême rareté. De même, il faut relever les nombreuses limites méthodologiques qui infirment les liens de causalité entre les compléments alimentaires et les événements indésirables qui surviennent parfois.
Sans vouloir nourrir une polémique sur le sujet, et s’il faut effectivement renvoyer les acteurs de cette industrie à leurs responsabilité, nous avons pu observer une tentation du corps médical et des experts en pharmacie à se laisser aller à des jugements sommaires vis à vis des compléments alimentaires, devenus suspects idéaux dans toutes les situations complexes ou incidents multifactoriels, impliquant pourtant bien plus souvent des médications agressives génératrices de nombreux effets adverses.
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Réflexions finales:
En conclusion, les compléments alimentaires, lorsqu’ils sont utilisés judicieusement, peuvent offrir des avantages substantiels pour la santé. Toutefois, il est primordial d’aborder leur consommation avec discernement, en tenant compte des risques d’interactions toxiques. La curiosité scientifique nous a amenés à reconnaître des associations bénéfiques, comme celles de la curcumine et d’autres nutriments, mais toujours avec une attention particulière à la sécurité, en évitant des ingrédients tels que la pipérine qui peut présenter des risques d’hypersensibilisation.
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SPIRULINE ω – Cure de 30 jours
*La phycocyanine de par la diversité de ses modalités d’action a rapidement été étudiée dans le cadre de la prévention de dysfonctionnements neurologiques, la stimulation des astrocytes, et la reconfiguration du milieu cérébral.”
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CURCUMINE ω – Cure de 30 jours
PHYCOCYANINE ω X12 – Cure de 30 jours
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SAFRAN ω – 90 jours